Sur le tronçon de route qui mène de la RN 24 (au lieudit l’Artisanat) au Hamiz est continuellement congestionnée.
En dépit des travaux qui ont permit de dégager la route des détritus et autres décharges sauvages, les bouchons continuent de se former en amant des intersections. Il n’est pas rare, notamment durant les heures de pointes, que les automobilistes mettent deux heures pour faire trois ou quatre kilomètres.
L’installation de plaques signalétiques au niveau des sorties et des bifurcations n’a pas réglé le problème puisque la circulation s’enlise de plus en plus, «déjà que les feux tricolores qui se trouvent au niveau de l’intersection de l’artisanat sont mal réglés. Ils s’allument de la même durée, que se soit pour les automobilistes qui empruntent la route principale, ou pour ceux qui viennent des routes secondaires.
Cette situation à engendrer plus d’encombrements, étant donné que le nombre de voitures qui empruntent la route principale est plus important», confie un automobiliste. En plus de cette situation, les marchands informels qui squattent la chaussée entravent la circulation, car les voitures s’arrêtent de part et d’autre de la route.
Les automobilistes qui viennent du Hamiz ou du lieudit l’Artisanat mettent plusieurs heures avant d’atteindre leur destination, «il faut enlevé tous les étals installés sur le bas coté de la route afin de dégager la route, c’est une condition sine qua non pour désengorger ce tronçon de route, qui est un axe névralgique pour toute la région», suggère un usager de la route.
Au bout de cet axe routier, à l’entrée du Hamiz, la circulation s’enlise d’avantage a cause des taxis clandestin qui occupent la moindre portion de trottoir. Les voitures qui viennent des deux sens sont obligées de ralentir, ce qui crée d’interminables embouteillages.