En quête d’équilibre entre besoin de main-d’œuvre et compétitivité, l’Allemagne réfléchit à son tour à la semaine de quatre jours, déjà étudiée dans d’autres pays européens et plébiscitée par certaines entreprises pionnières. Le sujet s’impose à l’agenda de la première économie européenne au moment même où la récession menace et rend le patronat frileux.