Le plastique est omniprésent dans notre environnement. Ce qui n’est pas sans conséquences sur l’environnement ainsi que sur la santé. En effet, ce produit, qui est en continuelle interaction avec l’environnement des individus, finit par s’infiltrer dans le corps humain, et cela, soit par ingestion, inhalation ou contact direct. D’ailleurs, de plus en plus de microparticules plastiques sont retrouvées dans le corps humain. Et les effets sur la santé peuvent être divers. L’environnement n’est pas épargné non plus. Il subit les conséquences de la croissance exponentielle de la production mondiale du plastique de plein fouet. Sachant que la production mondiale de plastique a explosé passant de 2 millions de tonnes en 1950 à plus de 400 millions aujourd’hui. Plus loin encore, les experts ont même estimé que cette production devrait doubler en 2040 et tripler en 2060. Dans ce dossier, El Watan revient sur les principales études réalisées au sujet de l’impact du plastique sur la santé et l’environnement qui a fait réagir des experts, chacun dans sa spécialité. Explications !
Selon Karim Ouamane, la migration des additifs des emballages vers les aliments est un phénomène complexe, influencé par une multitude de facteurs.
Résistant, léger et économique, dans les années 1950 et les deux décennies qui ont suivi, le plastique a longtemps bénéficié d’une image positive «dans tous les domaines de la vie», note l’Atlas du Plastique, de la Fondation Heinroch Böll Stiftung.
Avec la participation de 290 exposants issus de 22 pays, la 8e édition du Salon de la plasturgie, de l’impression et de l’emballage Plast & Printpack Alger 2024 s’est ouvert, hier, au Palais des expositions de la société algérienne des foires et expositions (Safex).
Une journée d’information sur la protection du milieu naturel contre la pollution au plastique a été organisée lundi à la maison de la culture Hassan El Hassani à Médéa par la direction de l’environnement et des énergies renouvelables au profit des associations écologiques et des clubs verts.
En l’absence de définition universelle du «plastique biodégradable» et faute de centres de traitement adaptés, des observateurs craignent que l’arrivée sur le marché de ces nouveaux matériaux ne contribue à l’inverse à augmenter la pollution.