L’autorité de gestion du Parc national du Djurdjura (PND) appelle les agences de voyage et les guides touristiques au respect des mesures mises en place afin de préserver cet espace naturel. Ce site est, pour rappel, situé dans une région très montagneuse entre la wilaya de Tizi Ouzou et celle de Bouira.
Quand la nature n’est pas détruite par l’avancée du béton et l’activité industrielle, c’est le tourisme de masse qui prend le relais. La situation de crise dans laquelle se trouve le Parc national du Djurdjura (PND), doublement classé comme Parc national en 1983 et inscrit par l’Unesco en 1997 comme étant une réserve mondiale de biosphère, est un parfait exemple des atteintes aux milieux naturels. La pollution a envahi les lieux.
La surexploitation des ressources naturelles, due principalement au surpâturage bovin, ovin et caprin, représente une réelle menace pour les pelouses alpines du parc.
La direction du Parc national du Djurdjura (PND), a établi, en concertation avec les accompagnateurs des randonneurs, une charte du randonneur. La rencontre ayant eu lieu le 9 du mois courant au siège du PND, a débouché sur une série d’une quinzaine de recommandations.
A l’initiative du Parc National du Djurdjura (PND), une soixantaine d’étudiants et encadreurs représentant les universités de Bouira, Tizi Ouzou, Béjaia, Boumerdès et l’Ecole nationale supérieure agronomique (ENSA) d’El Harrach ont pris part, hier, à la deuxième édition du Concours vert.