Dix-huit civils et un militaire congolais ont été tués par des milices, en début de semaine, dans l’ouest de la République démocratique du Congo (RDC), dans le cadre d’un conflit à caractère communautaire qui s’étend de plus en plus, selon le compte rendu du Conseil des ministres, a affirmé hier une source officielle citée par l’AFP.
Il n’y a pas de véritable autorité sur les milices de Tripoli. Les affrontements sont réguliers dans la capitale libyenne. Ils se soldent par des dizaines de pertes humaines. Quasi-indifférence de l’Occident tant que le pétrole coule. Le Financial Times a publié, hier, un rapport insistant sur le fait que les milices se sont fortement infiltrées dans les institutions de l’Etat et influent sur le processus politique, ce qui reflète de sombres perspectives quant à l’opération politique en Libye.
Selon des sources locales, la détention par un groupe armé d’un combattant appartenant à l’autre camp serait l’élément déclencheur des affrontements qui ont touché plusieurs quartiers de la ville.