Quatre rapporteurs de l'ONU ont exprimé leur inquiétude mercredi quant à l'exécution prévue d'un condamné à mort aux États-Unis par inhalation d'azote, une méthode qui serait une première mondiale, et pour laquelle ils estiment qu'elle pourrait entraîner de «graves souffrances». Dans ce type d'exécution, la mort est provoquée par hypoxie (raréfaction d'oxygène).