L’octroi répété d’incitations fiscales et douanières (IFD) affaiblit le recouvrement des recettes budgétaires en Algérie, sans pour autant générer les bénéfices macroéconomiques attendus en termes de croissance, de diversification des exportations et de création d’emplois. Entre 2014 et 2024, la part des recettes fiscales par rapport au PIB diminuait, passant de 12,2% à 11,2%, bien en deçà du potentiel estimé à 15% (40% pour un pays avancé). Ce niveau de 11,2% reste faible, même comparé à des pays ayant une structure économique similaire.
Le ministère de la Pêche et de l’Aquaculture travaillera, dans les prochains jours, sur la possibilité de bénéficier de prêts bancaires bonifiés sans intérêt, afin d’équiper les navires avec des instruments de navigation électronique les plus récents.