Il y a 29 ans, le 7 janvier 1995, cheikh Sadek Abdjaoui, un des ténors du hawzi et de l’andalou, tirait sa révérence, en laissant orphelins des milliers de mélomanes et de puristes en peine, autant à Béjaïa qu’à travers tout le territoire national, notamment Alger, Blida et Tlemcen.