Le Café littéraire et philosophique de Tizi Ouzou, initié par l’entreprise d’organisation d’événements culturels et scientifiques et économiques de Malek Amirouche, reprendra ses activités aujourd’hui, 26 février, après une année de mise veilleuse.
Farida Sahoui parle, dans son livre, de ses rencontres avec les descendants des exilés algériens, originaires de Kabylie, qui ont pris la fuite pour s’installer en Tunisie. Parmi ces exilés, certains ont été condamnés à mort par l’administration française suite à la révolte populaire d’El Mokrani, en 1871.