Des journalistes d’Algérie, de Tunisie et de Mauritanie, 11 sur 16, qui étaient en formation virtuelle et en présentiel avec l’organisation allemande Deutsche Welle Akademie, viennent d’annoncer leur retrait du projet appelé «Parler environnement» pour protester contre ce qu’ils appellent le «double standard et de couverture médiatique biaisée en ce qui concerne ce qui se passe depuis plus 50 jours à Ghaza».