La multiplicité des lois en matière de lutte contre la criminalité financière et le blanchiment d’argent complique le travail des commissaires aux comptes et rend plus difficile l’exercice de leurs tâches, notamment la dénonciation des crimes et la déclaration de soupçon. Réunis avec les magistrats à Alger, ils ont plaidé pour une harmonisation des lois, une instruction uniforme de la procédure de dénonciation et de déclaration, et à une communication fluide et transparente.