Un puissant courant unitaire traversait le continent africain. Les partis politiques, les syndicats et les étudiants avaient mis en place des organisations à l’échelle des ensembles régionaux. Les colonialistes avaient des objectifs dictés par leurs intérêts et contraires à ceux des peuples africains ; ils ont repris le vieil adage romain «diviser pour régner».