Les filles ont un investissement éducatif prolongé, alors que les garçons ont un parcours scolaire plus fragile et une insertion professionnelle précoce. Khadidja Boussaïd, sociologue et chercheure au Cread- Université Alger 2, aussi post-doctorante au Mecam à l’Université de Tunis, fait remarquer dans cet entretien une féminisation des projets migratoires.