L’attention restera donc focalisée sur l’évaluation qui sera faite et sur les changements à apporter pour convenir d’un accord «plus équilibré», étant décrié des deux côtés. Si Abdelmadjid Tebboune a demandé une révision «clause par clause», la direction générale du commerce de la Commission européenne, par une note verbale, a saisi en juillet dernier le Conseil d’association concernant un différend commercial avec l’Algérie.
Les consultations seront d’ordre technique et porteront sur les différends commerciaux entre les deux parties, a précisé Diego Mellado, le nouvel ambassadeur de l’UE en Algérie.