Sur les cinq affaires au programme de la chambre criminelle près la cour d’Alger, une seule a été examinée hier. Elle avait fait couler beaucoup d’encre au mois de mars 2021, alors que le mouvement islamiste Rachad, composé essentiellement d’anciens cadres et militants du parti dissous, venait d’être inscrit par les autorités sur la liste des organisations terroristes.