L'évacuation des militants pro-palestiniens qui occupaient les locaux de Sciences Po Paris a marqué une nouvelle étape dans les tensions entourant les manifestations de solidarité avec Ghaza.
Alors que la direction de l'école avait fermé les principaux bâtiments en réponse à l'occupation, la police est intervenue pour évacuer les occupants, mettant fin à la situation sans incident.
La fermeté des autorités françaises dans leur réponse à ces occupations est soulignée, avec une approche claire selon laquelle les actions perturbatrices ne seront pas tolérées. Cependant, certains critiquent cette réponse comme étant disproportionnée et sécuritaire, en particulier en ce qui concerne le blocage de la rue et l'absence d'assistance médicale pour les étudiants en grève de la faim.
Il est également intéressant de noter que ces actions de solidarité avec Ghaza se déroulent principalement dans des établissements comme Sciences Po plutôt que dans les universités. Cette distinction pourrait refléter les différences de dynamique et d'engagement politique entre les différentes institutions.
Par ailleurs, le mouvement de solidarité avec Ghaza n'est pas limité à la France, mais se manifeste également dans d'autres pays comme les États-Unis, où des manifestations ont lieu sur les campus universitaires. Ces manifestations ont également été marquées par des confrontations avec la police, soulignant l'ampleur mondiale de la mobilisation en faveur de Ghaza.