Le ministre de la Communication, Mohamed Laagab, a procédé, hier à l’hôtel El Djazaïr (Alger), à l'installation des membres du jury de la 9e édition du Prix du président de la République du journaliste professionnel. Ils sont au nombre de 12 et sont connus dans le secteur.
Trois thèmes ont été retenus pour cette édition : «La nouvelle Algérie et la problématique de la sécurité alimentaire et hydrique», «La nouvelle Algérie : renforcement des capacités et de la créativité de la jeunesse» et «La sécurité énergétique et ses dimensions géopolitiques». «Cette diversité de thèmes va inciter les journalistes à participer en force à ce prix. Ce concours n’est pas une fin en soi, c’est une partie de la célébration de la Journée nationale de la presse, qui aura lieu le 22 octobre.
Cette année, il y aura également des rencontres sous forme de débat intellectuel, des ateliers animés par des professeurs, des professionnels des médias et des universitaires. Des personnalités seront honorées ainsi que des entreprises de médias et des émissions», a mis en exergue le ministre.
Le prix vise à encourager et promouvoir la production de la presse nationale sous toutes ses formes, à stimuler l’excellence, la créativité, le professionnalisme dans la presse nationale et à instaurer la culture du mérite, en récompensant le meilleur travail journalistique en lien avec les sujets proposés, réalisé individuellement ou collectivement.
Cette édition a introduit dans la compétition l’illustration (photographie, dessin et caricature de presse) en plus de la presse écrite (article de fond, reportage et enquête), information télévisuelle (reportage, enquête, documentaire), information radiophonique (reportage et enquête) et la presse électronique.
L’objectif des actions du ministère de la Communication est d’arriver à «un système médiatique influent, au service de la société et qui défend les intérêts de la nation». Il doit fournir aux citoyens des informations objectives, exactes, équilibrées, dignes de confiance et crédible.
Dans une récente déclaration, le ministre de la Communication avait jugé primordial d’«accorder la plus haute importance à la promotion de l'action médiatique, par des contenus constructifs et professionnels».