Au moment où d’importantes sommes d’argent sont injectées pour l’amélioration urbaine dans les villes, les villages, et les plages, des constructions et autres extensions illicites s’érigent de manière anarchique.
Une menace sérieuse pour le tissu urbain qui en prend un coup, notamment le littoral Kheloufi, Petit Port et Ain Brahim, des plages renommées relevant de la commune de Sidi Lakhdar, à l’est de la wilaya de Mostaganem.
Un phénomène qui prend de l’ampleur et ce en dépit des dispositions de la loi de février 2002, qui a pour objet la préservation de la côte, surtout au niveau des ZET. A en croire de nombreux habitants révoltés, les autorités locales ont été saisies de cette situation pour stopper ces pratiques scandaleuses qui soulèvent déjà l’indignation. Un fléau qui gangrène ville et plages, et ce, avec tous les impacts négatifs, qui en découlent sur l’environnement et par ricochet sur le cadre de séjour des touristes.