Les clubs de Ligue 2 algérienne de football sont «dans l’obligation d’engager un préparateur physique et un entraîneur des gardiens de but» lors de la saison 2023-2024, sans quoi, ils ne pourront qualifier leur entraîneur en chef, a annoncé, mardi, la Ligue nationale de football amateur (LNFA).
«La validation de la licence de l’entraîneur principal seniors est subordonnée à l’engagement d’un préparateur physique et d’un entraîneur des gardiens de but», a indiqué l’instance dans un bref communiqué, diffusé mardi sur son site officiel, en précisant que «cette obligation est contenue dans l’article n° 14» des dispositions réglementaires.
Le championnat national de Ligue 2 débutera le week-end du 21-22 septembre courant, soit une semaine après celui de Ligue 1, dont le coup d’envoi sera donné le 15.
La LNFA a exigé également un certificat de sécurité, visé par les services techniques de la wilaya ou de l’APC, qui attestent que l’infrastructure désignée pour accueillir les matchs de Ligue 2 est apte à recevoir des manifestations sportives, dans le respect des conditions de sécurité, nécessaires à l’accueil des athlètes, des officiels de match, du public et des éléments des services de sécurité.
«La capacité d’accueil du stade doit être égale ou supérieure à 4 000 places assises. L’enceinte doit comporter quatre vestiaires dotés de toutes les commodités nécessaires.
Elle doit comporter également une signalisation claire et adéquate à l’intérieur et à ses alentours, en vue d’orienter les spectateurs et autres utilisateurs», a-t-elle encore expliqué. Une Commission d’audit de la LNFA s’est déjà rendue sur le terrain pour superviser cette opération annuelle.