Front El Moustakbal : Belaïd fête les onze ans de son parti à Annaba

12/02/2023 mis à jour: 01:30
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La wilaya de Annaba était, hier, la scène où le président du Front El Moustakbal, le Dr Abdelaziz Belaïd a choisi de fêter le onzième anniversaire de son parti politique, sur invitation de son représentant et coordonnateur régional, Tayeb Hemarnia. Sur fond d’ambiance nationaliste, la grande salle de conférence de l’hôtel Sabri s’est avérée exiguë pour contenir l’engouement de ses militants et sympathisants. D’emblée, le Dr Belaïd  a rappelé à l’assistance, dont ses invités de marque le Pr Abdelkrim Kadi, l’ancien recteur de l’université Badji Mokhtar, et Farid Merabet, l’ex-maire de Annaba, le parcours politique de son parti et sa participation à l’édification de l’Algérie nouvelle. A ce propos, il a déclaré : «Notre parti a toujours été une force équilibrée, un front républicain, privilégiant le débat qui mène à la stabilité qui, elle, conduit à la prospérité du pays, notamment l’Algérie nouvelle.» Abordant cette dernière, Abdelaziz dira : «L’Algérie nouvelle appartient à tous ses enfants. Elle se construit en mettant la main dans la main avec un élan d’union qui fera notre force. Cette Algérie nouvelle empêchera, vraisemblablement, nos enfants de la quitter clandestinement via la mer et évitera à sa matière grise l’exode.» Pour ce faire, poursuit-il, «nous soutenons les actions de notre président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et sommes derrière lui positivement dans l’édification de notre nouvelle Algérie». A l’international, l’orateur a estimé que «l’Algérie a toujours été enviée de par ses positions fermes quant aux questions internationales telles que le soutien au peuple palestinien et le Sahara occidental. Nous sommes confrontés à des tentatives de déstabilisation par des forces extérieures qui ne veulent pas du bien à l’Algérie, d’où la nécessité de serrer les rangs pour faire échouer ces plans malsains». Avant d’offrir un déjeuner à ses convives, le président du Front El Moustakbal fera rappeler aux présents la situation dans laquelle vivaient les Algériens avant la venue du président Abdelmadjid Tebboune : «Les 20 ans de l’ancien pouvoir le politique était considéré comme étant un malhonnête puisque le pays avec toutes ses institutions était marqué par le trafic des élections, la corruption, la gabegie, les passe-droits, les détournements… qui ont mené l’Algérie dans la désolation.»

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