Le nouveau président de la FAF, Walid Sadi, est sur la ligne de ce qu’il a égrené comme décisions, juste après son élection le 21 septembre dernier. Il a réitéré ce qu’il compte faire, après son installation officielle qui interviendra juste après la passation de consignes avec son prédécesseur prévue aujourd’hui.
Ses propos sur ce qu’il compte entreprendre en priorité restent de mise. Tous les segments qu’il a évoqués, la Ligue de football professionnel, la Direction technique nationale, la Commission fédérale des arbitres, le secrétariat général de la Fédération seront touchés par les changements qu’il compte initier rapidement.
Sa feuille de route connaîtra un début d’exécution sans délai. Les hommes en place avant son arrivée semblent avoir peu de chances de garder leurs portefeuilles respectifs.
Sur la liste des partants, le secrétaire général de la FAF, Mounir D’bichi, et le président de la LFP, Abdelkrim Medouar, seraient sur la short-liste suivis de près par le responsable de la CFA, en tant que numéro 2, Djamel Haimoudi. Le cercle des arbitres est très attentif aux sorties médiatiques du président. Ses déclarations sont analysées sous toutes les coutures.
La fièvre est montée d’un cran dans les rangs des arbitres.
La montée au créneau de quelques présidents de club qui ont pesté contre quelques hommes en noir a ajouté une couche à l’inquiétude des chevaliers du sifflet.
Selon des informations recueillies auprès de quelques observateurs, un ancien dirigeant de club de Ligue 1 aurait été sondé dans la perspective de remplacer le président de la LFP, Abdelkrim Medouar, dans les toutes prochaines semaines. Cela bouge aussi au niveau de certains organes de la Fédération.
La Chambre nationale de résolution des litiges (CNRL) en ferait partie. Des bouleversements sont à prévoir à presque tous les niveaux de la pyramide du football.
De profonds changements seraient programmés durant les derniers mois du mandat en cours qui s’achève au début du printemps 2025.