Les pertes pouvant être occasionnées par des dégâts d’origine climatique et naturelle concernant l’agriculture sont souvent très importantes, au moment où l’assurance agricole demeure le maillon faible du secteur des assurances.
Et vu la rareté des experts en assurance agricole dans le pays, l’institut des sciences expertales d’Alger lancera, prochainement, une formation d’expert international dans ce domaine afin d’aider, notamment, les agriculteurs qui cotisent pour bénéficier de leurs droits et les défendre auprès des tribunaux, en cas de litige. Comme ils peuvent contribuer à développer un secteur en veille...
D’ailleurs, le taux de pénétration de l’assurance en milieu agricole reste «très faible», car les agriculteurs estiment que les compagnies d’assurance «prennent beaucoup d’argent pour un service médiocre». «Nous voulons contribuer à développer le secteur agricole à travers la formation dans le domaine de l’assurance agricole !», insiste le détecteur de l’institut des sciences expertales d’Alger.