Ce réseau aurait exploité un millier de femmes, la plupart originaire de Colombie et du Venezuela, au cours de l’année écoulée.
Un réseau de trafic d'êtres humains aurait exploité un millier de femmes, principalement originaires de Colombie et du Venezuela, au cours de l'année écoulée. Ces femmes auraient été forcées à se prostituer ou à travailler dans des conditions d'esclavage moderne.
Ce réseau criminel opérait probablement dans plusieurs pays, car les victimes provenaient de différentes régions d'Amérique du Sud. Les détails spécifiques de l'opération, tels que les lieux d'exploitation et les méthodes de recrutement, ne sont pas mentionnés dans l'extrait fourni.
Il est important de noter que le trafic d'êtres humains est un crime grave qui viole les droits humains fondamentaux. Les victimes sont souvent soumises à la violence physique et psychologique, et sont privées de leur liberté.