Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans la cellule de communication du cabinet du wali à Boumerdès.
Cette structure, dont le rôle est de promouvoir la communication officielle et servir de relais entre l’administration et les représentants des médias, pratique une véritable politique de discrimination à l’égard de notre correspondant. Cela fait plus de trois ans que celui-ci n’a pas été convié à couvrir les activités officielles et les visites ministérielles dans la région.
Notre représentant est «boycotté» même quand il s’agit des conseils de wilaya, de séminaires ou autres manifestations nécessitant parfois une forte médiatisation, privant nos lecteurs de leur droit à l’information garanti par la Constitution. Cette exclusion est d’autant plus injustifiée que notre journaliste cumule plus de 12 ans d’expérience dans cette wilaya et a toujours fait preuve de professionnalisme dans l’exercice de son métier. Ladite cellule a changé de responsable récemment, mais pas certaines pratiques.
Notre correspondant lui a fait part du problème quelques jours après l’installation de Mme Fouzia Naâma à la tête de la wilaya. Aucun changement depuis.