De quoi Israël est-il le nom ?

02/03/2024 mis à jour: 16:20
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Lettre ouverte au Vénérable Patriarche Jacob, alias Israël
Ô ! Bienheureux Jacob, fils d’Issac 
et petit-fils d’Abraham

Tout d’abord, permets-moi de me présenter : Mohamed, de la Maison du Prophète (QSSSL) de l’Islam et descendant d’Ismaël, fils aîné d’Ibrahim (Abraham).

Je prie Sa Sainteté d’excuser ma démarche indiscrète, d’ouvrir mon cœur à un patriarche de premier rang, sans qu’il m’ait à cet égard accordé la permission. Je le prie également de pardonner ma franchise, contenue dans les invocations suivantes, que je me permets de lui adresser, au nom de l’humanité entière, relativement au comportement des mortels, parmi lesquels l’élite sioniste semble avoir perdu la raison. 

Ce gratin de la communauté talmudo-sataniste  nous démontre, en ces temps de fin du monde, qu’il n’a plus rien d’humain : ni cœur, ni âme, ni sagesse, point de facultés mentales et intellectuelles, pour éventuellement les raisonner sur les choses simples de la vie et de la mort. 

Donnant libre cours à la rancune infinie qui les habite, sauf rares exceptions, d’un nombre réduit de croyants orthodoxes, les enfants d’Israël veulent assouvir leur vengeance sur Dieu et les hommes, fidèles moutons et brebis ayant foi en l’Eternel, de les avoir un jour punis pour leurs méfaits. 

Ainsi, réussirent-ils à faire déserter leurs ouailles, des églises chrétiennes, catholiques et romaines,  avec des Lois permissives sur la laïcité, ils démolirent avec des révolutionnettes sanglantes des royaumes et des monarchies, possédant tous les attributs de la noblesse ; à la place des têtes couronnées, ils créèrent de vulgaires classes de faux bourgeois, sans caractère ni culture des fonctions et protocoles monarchiques ; leur tête de nigauds ont juste retenu, de la bonne société et des cours royales et d’empires, force intrigues politiques et autant de travers à la morale du genre et de l’espèce, sans limite ni retenue. Il semble qu’en Europe on ait autorisé des mariages entre différents genre et espèces ; des êtres humains se mêlant légalement à des animaux ; accouplements et arrangements, initiés par nombre de détraqués, à l’initiative de certains de tes enfants boutefeu ; cas cités en Infra.
Non contents de chercher querelles à tout le genre humain, tes enfants finirent par rivaliser, voire surpasser les Nazis, maudits pourtant par ta communauté ; sans doute en raison de leur rivalité sur les génocides humains ; les tiens, plus promptes à dégainer sur les Palestiniens, lâchent leur mortel venin, telles des espèces de reptiles à cornes ou de blaireaux à miel. 

De toute évidence, tes enfants sionistes flattent les plus mauvais instincts mortifères, qui sommeillent chez l’homme, avec le risque d’être vomi par la terre entière. C’est le danger qui leur pend au nez, à en juger par la somme de mobilisations d’autres peuples, contre cette idéologie inqualifiable. Ont-ils oublié le nombre de peuples et de races de pays différents qui leur accordèrent aide, assistance, asile et hospitalité, à travers siècles et continents. 
 

Patriarche Jacob, 
Dieu t’a honoré pour ton sens du combat, en toute loyauté, ce qui est loin d’être le cas de tes descendants. Ceux-ci ont effectué 10 000 raids d’avion sur Ghaza, déversant des tonnes de bombes, sur les têtes des populations civiles sans toits, conduites volontairement vers des «couloirs de sécurité», pour les piéger et ainsi les contraindre à accepter une expulsion, qui ne dit pas son nom, vers un no man’s land, perdu dans le désert du Sinaï. Sais-tu aussi que le Rabbin de Tsahal, Eyal Karim, conseiller en chef de «l’armée, la plus morale du monde», a décrété : «Qu’il  est légitime de violer les femmes palestiniennes, en temps de guerre.» Autant de signes qui renseignent l’humanité sur le nettoyage ethnique en cours, pour permettre à tes enfants de s’emparer d’une énorme nappe de pétrole, au large de Ghaza et partant faciliter, sans nulle résistance patriotique, la réalisation du «grand Israël». 

Selon la genèse, Dieu t’a majestueusement distingué, en t’attribuant le nom d’Israël, pour t’absoudre de tes péchés anciens, et ce faisant faire de Toi un autre homme que celui qui a trompé son frère jumeau (Esaü), pour un plat de lentilles, avec l’intention de s’emparer de son droit d’aînesse. Visiblement ton peuple ne donne aujourd’hui à Dieu aucun motif digne d’intérêt, pour être à son tour sacré. Pire encore, il inspire dorénavant à tous les hommes justes et droits, respectueux de l’ordre et des lois, de la méfiance et de la distance envers lui. 

Désormais le monde assiste impuissant à une prolifération de délires et d’inversion des valeurs traditionnelles, nourrie dans «le petit paradis» nauséabond du judéo-cabaliste Aleister Crowley, connu pour être l’«homme le plus malsain du monde». Que dire de la philosophie du judéo-américain Léo Strauss, qui considère  «le mensonge comme étant noble et nécessaire»? Idées adoptées lors de la prière de Kol Nider, faite à l’occasion de Yom Kippour, au cours duquel il est permis de se désengager de ses promesses, envers Dieu et les hommes, sans que ce reniement ne prête à conséquence. L’élite, constituée de perfides judéocrates et de leurs acolytes protestants sionistes, abuse de Kol Nidr, le transformant en rituel quotidien, où le vrai et le faux marchent la main dans la main. 

Toutes mes excuses d’humain ordinaire, de devoir rappeler un douloureux passé, à toi Bienheureux Jacob, qui n’est plus de ce monde, surtout au siècle mauvais où nous sommes. Comme tu le vois, le présent est devenu pire que les précédents ; en cause des idées saugrenues, de tes enfants gâtés, aux caprices farfelus. Ce bipède Tiers-mondiste avait prévenu Son Eminence Jacob de sa souveraine franchise. 

Ceci pour te dire aussi franchement que le peuple élu, ayant reçu de toi en legs ce nom divin, a effacé ton absolution divine, en foulant au pied tous les bienfaits dont tu fus comblés, sur la terre de leurs cousins Palestiniens ; des cousins affligés de devoir vivre sous la botte d’un gouvernement détraqué, où un vizir sioniste menace effrontément les Palestiniens de destruction à l’arme nucléaire : «We destroy you», dit-il, oubliant que leurs bienfaiteurs arabes et musulmans, leur évitèrent séculairement des errances superflues, dans les déserts d’Afrique et d’Asie, les portant depuis en leur sein, du Yémen en Andalousie, d’où une grande partie se déversa sur l’Europe, où elle en a vu des vertes et des pas mures...; obligeant ainsi les tiens à se replier au Maghreb et au Levant, où ils furent certains d’être bien accueillis. Pourtant, des Khazars, connaissant la région seulement par le roman biblique,  prétendent que cette terre leur appartient.

Mais d’où vient donc cet océan d’ingratitude et de folie furieuse?

Son Eminence, cette Palestine, livrée sur un papier aux sionistes, par les sinistres Campbell Bennerman et  Balfour, est depuis 1948 occupée par les tiens, se comportant comme des vauriens ; à preuve, cette terre martyre est depuis des lustres bourrée : de cœurs de pierre ; de mamelles taries de lait, d’où ne sort plus que du pus et du jus aux couleurs de sang. Ce bout de terre affiche insolemment des bourses vides de cuir de vison, sans nul argent gagné à la sueur du front de ses légitimes habitants, en dehors de celui obtenu par les lobbies ; ou par des pontes des jeux de casinos où le baccara est roi ; de la spéculation sur les emprunts et les dettes du capital apatride, outre celui d’avides mécréants, à travers des fourberies sur le dos d’autres Goym confiants ; ces derniers étant considérés comme des animaux de trait, par tes enfants égarés, devenus sionistes insociables et atrabilaires ; ses villes sont parcourues de ruelles aux rigoles gonflées de sang et ses trottoirs chargés de cadavres humains, autant de charognes livrées à l’air libre, aux corbeaux et autres oiseaux de proie, attirés par l’odeur pestilentielle de la mort ; un pays sur lequel veille des centaines de milliers de soldats de plomb ; des poltrons en puissance, sortis des habitacles de leurs avions et de leurs véhicules blindés agonisants, calcinés ; transformés en fours crématoires fumants, sous les feux nourris des missiles de la résistance plurielle ; résultat du refus permanent des combats, au corps à corps avec leurs adversaires, dans un champs de bataille ouvert, où les sionistes en sortiraient certainement perdants ; il est vrai que les tiens ne connaissent que les coups-bas désarmants, émanant d’autant de milliers d’officiers et de soldats «Pampers» ; dénomination qui leur va comme un gant, à force de traîner derrière eux une sale réputation d’assassins de femmes et d’enfants palestiniens… 
 

Saint Jacob, 

Je t’en conjure, rends le nom divin d’Israël à l’ange qui l’a concédé, à ta vénérable Grandeur et la Sublimité de ton héroïsme reconnu, après avoir combattu, avec courage et humilité, le digne séraphin de la tradition. Tu lui tins tête jusqu’à la fin, même si à l’issue de ce combat, tu quittas la lice estropié. Mais ton peuple est trop imbu de lui-même, pour mesurer la chance qu’il a de posséder un tel legs, venant d’ancêtres auxquels l’Islam consacra moult louanges éternelles, dans des versets coraniques poignants. 
 

Ton peuple supposément  «élu» prétend partager avec toi de tels honneurs et autant de dons célestes. Tout d’abord,  mérite-t-il une telle distinction ? Hélas, non ! Une grande partie de ta descendance, moulée dans l’idéologie talmudo- cabaliste continuera à considérer la Torah comme un fonds de commerce ; les nouveaux maitres de la synagogue de Satan, dont nombre est originaire de Khazarie, ayant eux-mêmes fait leur mue au sortir des steppes d’Asie,  d’où ils sont venus étreindre le vieux continent ; mais juste une infime partie connait le Levant dont elle se réclame, mais… Il existe un mais, selon lequel le récit biblique  bâti par les Judéens se serait déroulé au Yémen et non dans les terres de Palestine. J’espère revenir un jour sur le sujet. 

Quant aux nouveaux  arrivants d’Asie, ceux-ci se croisèrent avec d’autres peuples slaves, baltes  et de Germanie, en Europe orientale, quelque part entre la mer Noire, le Caucase, aux limites de l’Oural. Pourtant, sans jamais avoir mis les pieds en mer Morte, ni dans la ville Jérusalem (El Qods), ils embrassèrent vers le tard le Judaïsme, désormais falsifié et souillé par des mains expertes, de Grands rabbins ultranationalistes, rendant le Talmud, dans la sphère publique, supérieur à la Torah de Moussa (Moise) ; avec l’arrière-pensée de s’emparer, au nom de Dieu, auquel peu de sionistes croient, des gouvernes de l’entité sioniste.  

Oui, Excellence Jacob, les sionistes revendiquèrent ton pseudonyme, comme autrefois les saltimbanques improvisaient des noms, qu’ils donnaient à leur théâtre de rue, pour donner l’illusion que les entrepreneurs du spectacle ne sont pas erratiques, mais bel et bien localisés quelque part. Ainsi, se débarrassent-ils pour un temps  de leur ancien statut de nomades errants, sans se priver cependant de posséder trois ou quatre passeports, pour le cas où le salut serait dans la fuite ; par exemple en Ukraine où le terrain fut balisé et d’énormes investissements réalisés, en Patagonie où des terres furent achetées et cadastrées… 

Enfin, ici bas, des énergumènes admirent les gens de Sion, sans doute pour avoir réussi pécuniairement, matériellement, mais les tiens n’ont actuellement qu’un souci d’occulter, comme on cache une maladie honteuse, le mot sionisme et sa mainmise sur le monde, condamné à connaître prochainement un sort peu enviable.  Oui! Pater Jacob, toutes les voies choisies par tes enfants sont propres à faire vivre l’entité sioniste, soit dans un  enfer sur terre, simplement parce qu’ils ne peuvent vivre sans guerre nourricière, avec tous les complexes militaro-industriels, dont le Capital apatride  en est le propriétaire ; sinon de choisir les Cieux, où le feu croise le fer avec Lucifer. Dans tous les cas, les sionistes sont faits comme des rats !

Par Kamel Khelifa

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