Décidément, la Confédération africaine de football ( CAF ) ne veut pas, où ne peut pas ?, se mettre au diapason des autres Confédération ( UEFA, AFC, Conmebol et FIFA )dans le domaine de l’utilisation de la Vidéo Assistance Referee ( VAR ) lors des compétitio A forcens officielles.
Alors que l’utilisation de la VAR s’est généralisée partout sur la planète, la CAF et ses dirigeants restent réfractaires à l’utilisation de ce moyen technologique pour réduire les fautes et erreurs d’arbitrage. Alors que les matchs officiels en Asie, en Europe et en Amérique du Sud et centrale, la VAR est omni- présente sur notre continent elle brille par son absente. Cette situation, anormale, est due à quii ? A une volonté délibérée et affichée de la part de la CAF de ne pas utiliser cet iutil extrêmement important pour limiter la marge d’erreurs et de fautes que pourraient commettre des arbitres ?
Au cours de la fenêtre internationale ouverte cette semaine il y a eu beaucoup d’erreurs et d’appréciations des arbitres qui ont influencées le résultat de match ( voir Cameroun- Namibie ). Le recours à la VAR est devenu indispensable vue les importants enjeux ( financiers et économiques ) qui pèsent de tiut leur poids sur la survie du football en tant que spectacle vivant. Alors que la présence de la VAR ne se discute plus ( la ligue professionnelle anglaise a voté massivement en faveur de son maintien et généralisation à tous les paliers du football profesionnel la CAF ne veut pas entendre parler de cet outil. Ses ditigeants se croient malins en faisant appel à cette technologie durant la phase finale de la CAN et les 3 derniers tours des commissions inter clubs. La Confédération est appelée à se pencher sérieusement sur ce volet si elle ne veut pas que le football africain demeure à la traîne. L’absence de cet outil technologique décribilise le football africain.
Le remps est venu pour la CAF et le football africain d’opérer un saut qualitatif pour maintenir la contact avec l’AFC, l’UEFA et la Conmebol qui toutes les 3 utilisent la VAR et limitent par la même les erreurs d’arbitres.