La station de bus de Bachdjarah n’est plus en mesure de contenir le flux quotidien de voyageurs. Et pour cause, la station est fréquentée non seulement par les bus de l’Etusa et ceux des opérateurs privés qui se partagent la portion, mais également par les bus qui assurent le transport des étudiants vers les différentes facultés et instituts de la capitale, faute d’une station qui leur est dédiée. Les voyageurs y attendent les bus dans des conditions difficiles. La station est un terrain vague qui n’est équipée ni d’abribus ni de quais. «Il faut que les pouvoirs publics réalisent une autre station pour soulager les voyageurs de cette contrainte», suggère-t-on. B. C.