L’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme a appelé à la mise en place de «comités internationaux des droits de l’homme» qui devraient se rendre dans la Bande de Ghaza afin de constater l’ampleur des crimes commis par l’entité sioniste contre les civils palestiniens.
Quelques heures avant l’entrée en vigueur du premier accord de trêve humanitaire temporaire dans la Bande de Ghaza, Euro-Med Human Rights Monitor avait appelé, jeudi, à «la formation de comités internationaux des droits de l’homme qui se rendraient dans la Bande et documenteraient l’ampleur des crimes commis par (l’entité sioniste) contre les civils palestiniens», selon un communiqué publié sur le site de l’ONG.
Elle a souligné que toute commission d’enquête envoyée par les Nations unies pour enquêter sur la situation à Ghaza devait recueillir les témoignages des victimes directement et constater par elle-même la situation humanitaire sur place. L’Observatoire Euro-Med des droits de l’homme a simultanément exhorté tous les médias internationaux à «profiter de la trêve en renforçant leur présence sur le terrain et en rendant compte de tout développement de la situation humanitaire à Ghaza».