En tant qu’un des membres fondateurs de la Cour pénale internationale (CPI), la Hongrie est tenue de respecter les décisions de cette juridiction, mais elle est revenue sur ses engagements internationaux, en décidant non seulement d’être le premier pays européen à recevoir sur son sol le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, visé par cette juridiction par un mandat d’arrêt international pour des «crimes de guerre et contre l’humanité» à Ghaza, mais aussi le premier à annoncer son retrait du Statut de Rome, se mettant ainsi en violation avec le droit international et européen.