Un record en la matière. Les députés ont proposé 120 amendements au projet de loi portant règlement intérieur de l’Assemblée populaire nationale (APN).
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a annoncé, hier, que l’année 2024 sera marquée par la réalisation de zones franches entre l’Algérie et cinq pays africains, en l’occurrence la Mauritanie, la Tunisie, la Libye, le Mali et le Niger.
Le dossier des essais nucléaires, en suspens, constitue l’un des plus sérieux écueils au traitement de la question mémorielle entre l’Algérie et la France.
Le ministre des Travaux publics et des Infrastructures de base, Lakhdar Rekhroukh, a affirmé hier, à Bouira, que les études relatives au projet de réalisation de la route sur une longueur de 773 km devant relier la frontière algéro-mauritannienne vers la ville de Zouérate sont désormais achevées.
L’ambassadeur de l’Etat de Palestine à Alger, Fayez Abou Aïta, s’est exprimé, hier, sur les derniers événements sanglants qui déchirent Ghaza. C’était dans le cadre du lancement d’une semaine commémorative initiée par l’association Mechaâl Echahid pour marquer la «Journée nationale du Chahid», une action placée sous le signe de la «solidarité avec nos frères palestiniens».
La perspective d’une «véritable» offensive de l’armée israélienne à Rafah, à l’extrême sud de la Bande de Ghaza où sont réfugiés des centaines de milliers de Palestiniens, est «terrifiante», a affirmé le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme.
Le ministère palestinien des Affaires étrangères a dénoncé hier les crimes commis par l’armée de l’occupation israélienne à Ghaza, dont le plus récent à Rafah, soulignant, dans un communiqué, qu’Israël «cible des civils et vise à transférer la guerre à Rafah, la zone densément peuplée de Ghaza, pour les pousser à émigrer et à se déplacer sous les bombardements».
L’ONG Médecins sans frontières (MSF) a alerté hier contre une éventuelle offensive terrestre des forces d’occupation israélienne contre Rafah, dans le sud de la Bande de Ghaza, affirmant qu’une telle opération serait «catastrophique».
Défenseur des causes sahraouie et palestinienne, Maître Gilles Devers, du barreau de Lyon, mène, depuis 2009, une rude bataille judiciaire pour faire condamner les dirigeants israéliens par la Cour pénale internationale (CPI) pour les crimes de guerre, contre l’humanité et le génocide commis à Ghaza. Au bout de la troisième plainte déposée le 9 novembre 2023, il se déclare «optimiste», parce que toutes les étapes de la procédure «ont enfin abouti» après «des rejets, du déni et du mépris». Dans l’entretien qu’il a bien voulu nous accorder, il revient sur les obstacles, la méfiance, le désespoir qui ont marqué plus d’une décennie de lutte juridique, mais aussi sur son «prochain combat», devant la CPI, pour le droit de retour de plus de 5 millions de Palestiniens à Jérusalem-Est, leur capitale, reconnue comme telle par le droit international.
Cette visite, qui devait être la première du genre depuis le début de la crise diplomatique entre l’Algérie et l’Espagne, était perçue comme une étape permettant aux deux pays de tourner la page.
Les débats autour du projet de loi portant règlement intérieur de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont pris fin hier avec l’intervention de plus de 155 parlementaires.
Si la guerre asymétrique suppose une inégalité des moyens militaires et par extension des moyens médiatiques, la résistance palestinienne a su compenser ce déséquilibre par un activisme digital qui lui a permis d’avoir une certaine visibilité et de faire entendre sa voix.
Les répercussions d’une offensive de l’armée d’occupation israélienne sur Rafah ne se limiteraient pas à ses habitants et aux déplacés qui y ont trouvé refuge. En tant que principal point de passage pour l’aide humanitaire vers Ghaza, la ville est essentielle pour le maintien de la vie dans l’enclave palestinienne. Une opération terrestre majeure pourrait couper complètement ce lien vital, exacerbant ainsi la crise humanitaire qui sévit déjà.
Le secrétaire général adjoint des Nations unies en charge des affaires humanitaires, Martin Griffiths, a déclaré que les souffrances des Palestiniens de la ville de Rafah, au sud de la Bande de Ghaza, sont «inimaginables», en raison de la guerre génocidaire sioniste qui se poursuit depuis le 7 octobre 2024.
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a souligné l’importance d’une «communication continue avec les citoyens, la société civile et les institutions», précisant que «la vie quotidienne demeure le seul critère pour mesurer le changement, la performance et l’efficacité».
Les contours et les priorités de l’année scolaire 2024-2025 sont clairement fixés dans la circulaire cadre du ministère de l’Education nationale. Le document, rendu public récemment, se concentre essentiellement sur la continuité et retrace les grands principes de ce que devrait être la prochaine rentrée.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a reçu, hier à Alger, l’administrateur représentant la circonscription à laquelle appartient l’Algérie au niveau du Conseil d’administration du groupe de la Banque mondiale (BM), Sayed Tauqir Hussain Shah, avec lequel il a évoqué les défis économiques et sociaux de l’Algérie et de la région.
L’ONT a une mission délicate, celle de valoriser l’image du pays et la promotion de la destination Algérie auprès des milieux professionnels, de la presse spécialisée, voire des milieux d’affaires.
Chérif Menaceur, DG de l’agence Timgad Voyages, nous éclaire sur l’évolution du secteur touristique et les priorités actuelles.
Les juristes estiment, dans une déclaration commune, que l’arrêt de la Cour internationale de justice (CIJ) est une «rupture avec 75 ans d’impunité dont avait jouit le seul membre des Nations unies enfanté par l’organisation internationale (Israël, ndlr)».