Des députés ont réclamé la création d’une commission d’enquête sur la gestion des œuvres universitaires. Un rapport a été finalisé et sera remis aujourd’hui au président de l’APN.
Durant les trois dernières années, 920 000 logements, tous segments confondus ,ont été attribués, a annoncé Redha Bouarioua, directeur général de la construction au ministère de l’Habitat.
Réceptacle de tous «les maux sociaux» comme aiment les qualifier les sociologues, Sidi Salem est une localité triste. Dès qu’on y pénètre, on découvre misère et désolation. Ordures jetées pêle-mêle, routes éventrées, pylônes électriques à même le sol, quartiers insalubres et commerce informel dans tous les coins de rues. Un paysage lugubre agresse les regards et témoigne que ce lieu malfamé n’a pas profité des bienfaits de l’indépendance. Un spectacle qui ne laisse personne indifférent.
Dans cet entretien, Zakaria Tizi, chercheur au CREAD, aborde les raisons de la violence urbaine. Plusieurs facteurs (économiques, psychosociologiques, etc.) concourent à provoquer une hausse de ce phénomène. «La violence est une pratique sociale qui diffère d'une société à une autre. Elle ne peut pas être éliminée. Mais elle peut par contre être réduite par la mise en œuvre des mécanismes de contrôle social», tranche-t-il.
Le gouvernement compte adapter la stratégie nationale de prévention et de gestion des risques majeurs, à travers l’adoption prochaine d’un nouveau texte de loi, a annoncé, hier à Boumerdès, le ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Brahim Merad.
Les accidents de la route sont l’une des principales causes de décès et d’invalidité dans le monde : ils font environ 1,3 million de morts et pas moins de 50 millions de blessés chaque année. À l’échelle mondiale, un décès sur quatre survient chez les piétons et les cyclistes. C’est ce que révèlent les statistiques livrées par l’Organisation des Nations Unies (ONU), à la faveur de la septième semaine mondiale de la sécurité routière, qui s’est clôturée hier. Le maître mot pour cette année est «Mobilité repensée».
L’entreprise turque Özgün Insaat, chargée de la réalisation du projet d’aménagement des gorges de Kherrata (RN09), à une soixantaine de kilomètres à l’est de Béjaïa, a été surprise au début du mois par la nouvelle du blocage de son compte bancaire.
Pour aider les harraga, ayant choisi de retourner volontairement au pays, à se réintégrer, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) bureau d’Alger, a organisé, la semaine dernière durant deux jours, une formation d’orientation sur le marché du travail, à leur intention.
Les jeunes progressistes du rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) ont tenu, vendredi dernier, leur deuxième congrès, avec la participation de 700 congressistes venus des différents bureaux régionaux du parti.
Les sujets du baccalauréat et du BEM seront abordables et porteront uniquement sur les cours dispensés en classe. Les séances de rattrapage sont programmées pour les absents lors des évaluations des compétences des élèves de la 5e année primaire.
Les travaux du Conseil de la Ligue des Etats arabes au niveau du Sommet dans sa 32e session, tenus vendredi à Djeddah, avec la participation du Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, en qualité de représentant du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, ont été sanctionnés par l’adoption de «la Déclaration de Djeddah».
Les pluies de ce mois de mai sont très bénéfiques pour la biodiversité et pour l’alimentation en eau potable. Qu’en est-il de l’agriculture ? Pour Moussouni Akli, expert agronome, les dernières précipitations sont «bénéfiques» pour l’arboriculture mais «inutile» pour les céréales. «Par rapport aux cultures céréalières, ces pluies sont venues très en retard et ne sont peut-être bénéfiques qu’à 5% seulement. La sécheresse est passée par là, donc il n'y a rien à faire», tranche-t-il.
Invité sur initiative «personnelle» du prince héritier, et non moins Premier ministre saoudien, MBS, le président ukrainien est venu plaider la cause de son pays et demander le soutien de la communauté arabe dans le conflit avec la Russie.
«La révolution à Seguia El Hamra et Rio de Oro s'est déclenchée parce qu'il existe un peuple. Ce peuple possède son identité nationale, sa propre civilisation, ses propres principes, ses propres valeurs, sa propre organisation (...)».
Le représentant du Front Polisario auprès de l'ONU a affirmé, récemment, que depuis sa création il y a 50 ans, le Front a toujours eu pour mission la défense du droit «inaliénable et imprescriptible du peuple du Sahara occidental à l'autodétermination, à l'indépendance et à l'instauration de la souveraineté sur l'ensemble du territoire de la République sahraouie».
Le Premier ministre sahraoui et président de la commission de suivi de la préparation des festivités marquant le 50e anniversaire de la création du Front Polisario et du déclenchement de la lutte armée, Bouchraya Hammoudi Bayoun, a indiqué que le peuple sahraoui célébrera aujourd'hui un demi-siècle de résilience contre le colonisateur espagnol puis l'occupant marocain, en étant déterminé à poursuivre le combat jusqu'à l'autodétermination et l'indépendance.
A la veille de l’ouverture officielle, à Jeddah, du Sommet de la Ligue arabe, Mohammed Ben Salmane, prince héritier d’Arabie Saoudite, annonce avoir invité le président ukrainien, V. Zelensky, apparemment, sans avoir informé aucun des pays membres.
Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a précisé que la «stratégie du secteur, qui tend à améliorer les prestations sanitaires à travers les wilayas du pays, repose sur la création de pôles sanitaires spécialisés dans les wilayas du Sud afin d’éviter aux citoyens de se déplacer vers le nord du pays».
L’Algérie, qui compte récupérer son patrimoine historique et culturel détenu à l'étranger, œuvre à cristalliser une «vision juridique» pour appuyer son dossier à l’international, a annoncé, avant-hier à Alger, le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebigua.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a affirmé, jeudi, que les étudiants et les jeunes Algériens étaient la «force vive de l’Algérie d’aujourd’hui, une Algérie forte de leur prise de conscience, de leur engagement national, de leurs capacités créatives et innovantes et de leurs succès».