La société chaouie a suscité peu d’écrits. Les rares textes connus sont ceux de chercheurs étrangers, particulièrement français, à l’instar de l’ethnologue Germaine Tillon dont les travaux menés dans les années 1930 à El Ménéa et chez les Ouled Abderrahmane sont devenus une référence incontournable pour les chercheurs en sciences sociales.