Une actrice qui joue merveilleusement bien, indéniable, un personnage que la nature a doté de belles cordes vocales, un roman d’une écrivaine connue et un metteur en scène qui se présente lui-même comme étant un enfant prodige de retour dans sa ville.
Walid Abdellahi est journaliste, metteur en scène et président de l’association culturelle ELManara de Corso à Boumerdès. Sa dernière pièce Djadb (Terre aride) a été présentée lors du Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB), qui s’est déroulé du 14 au 20 octobre. Il a mis en scène une dizaine de pièces de théâtre pour enfants et pour adultes, dont Baraghith (puces) et Bled Z. Interview.
Un séminaire national sur les œuvres du défunt dramaturge Dr Salah Lombarkia a été organisé mercredi à la Faculté des langues et lettres arabes et des arts de l’Université Batna 1 en hommage à cette figure du théâtre national.
La clôture du 14e festival local du théâtre professionnel de Guelma, dédiée à la mémoire de l’acteur Guelmi Mohamed Larbi Bahloul, décédé à l’âge de 52 ans l’année dernière des suites d’une longue maladie, a eu lieu, mercredi dernier en début de soirée, à la salle des spectacles de la maison des jeunes Mhamdi Youcef de Guelma.
L’association Al Sitar a précisé que la 3e édition du Festival international du monodrame féminin, intitulée «Edition de l’artiste Fatima Hlilou», se tiendra à la maison de la culture Mohamed El Amine El Amoudi dans la wilaya d’El Oued, sous le patronage du ministère de la Culture et des Arts, et sera organisée sous le thème «Le monodrame... et le patrimoine culturel mondial», avec la participation de troupes théâtrales de 18 pays.
Le metteur en scène, l’acteur et écrivain Slimane Benaïssa était, le 8 octobre, le premier invité des rencontres organisées au 14e Festival local du théâtre professionnel de Guelma qui se déroule jusqu’au 11 octobre. Il a signé deux de ses ouvrages, Le sein de ma mère et Textes de théâtre, publiés aux éditions Dalimen à Alger.
La 14e édition du Festival local du théâtre professionnel de Guelma a débuté le 7 octobre avec une cérémonie d’ouverture à la salle de conférences de la wilaya de Guelma. Le festival dure jusqu’au 11 octobre, avec la participation de sept troupes. Rencontre avec Halim Rahmouni, directeur du Théâtre régional Mahmoud Triki de Guelma et commissaire du festival.
Il fallait s’y attendre puisqu’à défaut du théâtre régional Mahmoud Triki de la ville, en pleine rénovation depuis quelques mois au même titre que celle de la maison de la culture Abdelmadjid Echaffii, le choix de la salle verte est venu tout naturellement s’imposer aux autorités locales et au commissariat du festival.
Youcef Taouint, président du MTK (Mouvement théâtral de Koléa), éternellement discret, arrive à répondre toutes les sollicitations, en dépit d’un plan de charge conséquent. L’histoire du théâtre à Koléa est intimement liée à lui. Il a côtoyé les monuments du théâtre algérien, ce fut une aubaine pour cet artiste, qui a acquis des connaissances précieuses sur le 4e art.
Cinq militants écologistes du groupe Just Stop Oil ont été inculpés jeudi soir pour « intrusion aggravée » après avoir perturbé une représentation de la comédie musicale Les Misérables à Londres. La police a annoncé ces inculpations après que plusieurs individus eurent envahi la scène du Sondheim Theatre.
Hawa est un psychodrame mis en scène par Brahim Nefnaf de l’association Nahda de Bordj Menaïel (Boumerdès). Il est interprété par Houria Boussouar, d’après son propre texte.
Le commissariat du Festival culturel national du théâtre amateur de Mostaganem a lancé dernièrement un programme annuel de formation dans les arts dramatiques touchant plusieurs wilayas, a-t-on appris, dimanche, de cette instance culturelle.
L a troupe Nevgha de l’association La compagnie des cigognes a présenté ce week-end, au centre culturel Abdelmalek Bouguermouh d’Amizour, 19 km de Béjaïa, la générale de sa pièce D-Sbitar (l’asile psychiatrique».
Artiste underground, comédien et acteur de théâtre, il vient de mettre en scène son deuxième «one man show» qui devrait tourner bientôt dans tout le pays et continue sa déjà longue carrière. Pièces, performances, séries TV et films, on l’aura surtout remarqué dans le saisissant «Soula» de Salah Issaad (2021), l’une des œuvres les plus réussies de ces dernières années.
Cette pièce, inspirée du texte de Claudio Fava et mise en scène par Chiara Callegari, met en lumière les étapes de la vie des juges italiens, Falcone Jovani et Paolo Borsilino, assassinés par la mafia en 1992, a souligné la réalisatrice en marge de la présentation de cette œuvre, produite en 2022.
Une nouvelle production théâtrale vient enrichir le paysage de l’art des planches amazighes. Il s’agit de la pièce de théâtre intitulée Hyigh-ad seg ighdan (Renaître de ses cendres) produite à Tizi Ouzou par Rosa Mettef de la boîte audiovisuelle Leyarts Production, écrite et mise en scène par Rachid Bouider. Le sujet traité dans cette production porte notamment sur les violences faites aux femmes.
La détermination de vouloir voler de ses propres ailes à un âge précoce, le sentiment de croire pouvoir se détacher de ses racines sans conséquences fâcheuses… les ambitions démesurées chez l’enfant.
l Le recours à la langue arabe classique a toujours été problématique dans le théâtre algérien, depuis ses premiers balbutiements à aujourd’hui, pour des raisons généralement extra-théâtrales et extralinguistiques.
Cinq troupes issues d’autant de pays ont confirmé leur participation à la 12e édition du Festival international du théâtre de Béjaïa, prévue du 12 au 19 octobre prochain, a-t-on appris lundi auprès du commissariat de cette manifestation artistique qui mise sur la participation d’une douzaine de formations théâtrales.
Le théâtre régional Malek Bouguermouh de Béjaïa rouvrira ses portes aux amateurs du 6e art dans trois mois. C’est ce qu’a promis en tout cas le responsable de la culture.