L'ex-chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi, octogénaire à la santé déclinante, a été hospitalisé en soins intensifs mercredi à Milan (nord) pour des problèmes cardiaques.
Donald Trump, et l'Amérique avec lui, s'apprête à vivre une première historique: il va quitter lundi la Floride pour rejoindre New York, où il doit comparaître le lendemain devant la justice pénale après avoir été inculpé en lien avec un paiement à une star du porno.
Un législateur philippin a été accusé d'avoir organisé le meurtre d'un gouverneur de province le mois dernier, à l'issue d'une enquête sur l'une des attaques politiques les plus meurtrières que le pays ait connues depuis des années, ont déclaré lundi des responsables.
Depuis le début de ce millénaire, qui s'annonçait novateur et prometteur, après les péripéties guère enchantantes des systèmes qui avaient prévalu avant la chute du mur de Berlin, les oligarchies capitalistes, transcontinentales, se sont emparées du monde, y compris les nouveaux riches communistes reconvertis.
Très actif lors des récentes mobilisations contre la réforme des retraites en France, le phénomène "black bloc" a pris de la visibilité ces dernières années en s'en prenant violemment aux forces de l'ordre et à des symboles du pouvoir ou du capitalisme.
Farouche opposant du président Paul Kagame, Paul Rusesabagina, qui a inspiré le film "Hôtel Rwanda", a été libéré vendredi après plus de 900 jours derrière les barreaux et une annonce du gouvernement commuant sa peine de 25 ans pour "terrorisme".
Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, a affirmé, lundi soir, que l’ordre du jour que les ministres ont convenu de soumettre aux dirigeants arabes lors du 31e Sommet à Alger, revêt «un niveau élevé de pertinence».
En plaçant la barre très haut, en battant le rappel des institutions, à l’échelle internationale, continentale et régionale : l’Organisation des Nations unies, l’Union africaine (UA), le Mouvement des non-alignés, l’Organisation de la Conférence islamique – représentées au plus haut niveau, respectivement par Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, Macky Fall, président du Sénégal et président en exercice de l’UA, Ilham Aliyev, le secrétaire général du Mouvement des non-alignés, Hissein Brahim Taha, secrétaire général de l’OCI, qui ont répondu présents à l’invitation de l’Algérie pour prendre part en qualité d’invités d’honneur au 31e Sommet de la Ligue des Etats arabes –, l’Algérie s’est taillée une cuirasse à toute épreuve.
C'est dans la soirée d'hier, mardi 1er novembre, dans le somptueux Centre international des conférences Abdelatif Rahal que le 31e Sommet arabe, réuni sous l'égide de la Ligue arabe, organisé et présidé par l'Algérie, s'est ouvert en présence de nombreux chefs d'Etat et souverains arabes, des personnalités de haut rang.
Les principales décision du dernier conseil des ministres présidé par le président de la République Abdelmadjid Tebboune
Qui aurait parié le moindre réal brésilien, et imaginé, il ya quelques mois, que Lula, condamné à une peine de 12 ans de prison pour corruption, réussirait cet extraordinaire retour, en renvoyant dimanche, au second tour de la présidentielle, Jair Bolsareno, le président conservateur sortant, qui lui souhaitait, « de pourrir, le reste de sa vie dans une cellule? »
La formation dirigée par Louisa Hanoune estime que ce code «va livrer le pays au pillage étranger au profit des multinationales, alors que ces dernières ne cherchent que de nouveaux marchés pour leurs marchandises frappées par l’inflation, la récession et la saturation du marché mondial».
Le leader de Jil Jadid, Soufiane Djilali, a dévoilé, lors du congrès de son parti, les prémices d’une initiative politique pour la construction d’«une Algérie forte et solidaire».
Le président de transition malien, le colonel Assimi Goïta, a promulgué vendredi la loi électorale adoptée il y a une semaine par l’organe législatif, une condition à l’organisation d’élections et à un retour des civils au pouvoir, selon un décret présidentiel rendu public.
Youcef Aouchiche, premier secrétaire national du FFS, a saisi l’occasion de sa présence à la rencontre fédérale du parti pour l’installation de la commission administrative de la fédération de Béjaïa (CAF), pour répondre aux reproches de certaines voix discordantes, sans les nommer.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le premier secrétaire du FFS, Youcef Aouchiche, revient sur la dernière rencontre avec le président Tebboune. «Pour nous, le dialogue n’est pas une option de circonstance, mais une constante politique du parti qui, pour nous, est la seule démarche en mesure d’apporter des solutions concrètes et consensuelles à la crise structurelle et multidimensionnelle qui touche notre pays. Ce dialogue est devenu impératif pour faire face aux défis actuels et futurs, internes et externes et préserver la stabilité, l’unité et la souveraineté nationales», résume-t-il. Et d’insister : «Le FFS a toujours considéré que la libération des détenus d’opinion, et au-delà la fin de la judiciarisation de la vie publique, l’ouverture des champs politique et médiatique étaient indispensables pour créer un climat favorable à un dialogue inclusif.»
Le FFS a toujours fait du dialogue constructif son principe fondamental. Ce sont les pouvoirs publics qui refusent le dialogue et c’est dans cette perspective que nous avons répondu favorablement à l’invitation du président de la République», a assuré d’emblée Youcef Aouchiche, premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS), lors d’une conférence de presse animée hier au siège national du parti à Alger.
L'ancien député de Bejaia, Atmane Mazouz est le nouveau président du RCD. Il a été élu, tard dans la nuit de vendredi, à la majorité des voix des congressistes.
Le gouvernement libyen désigné par le Parlement a annoncé mardi 17 mai qu'il se retirait de la capitale, siège du pouvoir exécutif rival, quelques heures après son entrée à Tripoli qui a provoqué des combats.
Oui, il y a du nouveau dans la Nouvelle Algérie, «l’instauration de la culture de la concertation et du dialogue entre l’Exécutif, les syndicats, la société civile et les personnalités indépendantes», selon les termes utilisés par Soufiane Djilali