Pékin a réagi hier à l’élection de William Lai en s’opposant de nouveau à toute indépendance de l’île. Tout pas vers l’indépendance de Taïwan sera «sévèrement puni», a averti hier le chef de la diplomatie chinoise, Wang Yi.
La Corée du Nord a tiré hier un missile balistique, a annoncé l’armée sud-coréenne, quelques jours après des exercices d’artillerie à munitions réelles et sur fond d’inquiétudes sur un durcissement de la position de Pyongyang. «Notre armée a détecté un missile balistique, de portée intermédiaire présumée, lancé depuis la région de Pyongyang vers la mer de l’Est vers 14h55» (05h55 GMT), ont déclaré les chefs d’état-major interarmées sud-coréen dans un communiqué, cité par l’AFP, faisant référence à une zone également connue sous le nom de mer du Japon.
Le candidat Lai Ching-te a remporté hier l’élection présidentielle à Taïwan, selon les résultats officiels quasi définitifs, rapporte l’AFP. Vice-président sortant, Lai Ching-te, du Parti démocrate progressiste (DPP), il a obtenu 40,2% des voix, selon ces résultats portant sur 98% des bureaux de vote. Après son élection, il a promis de «protéger Taïwan des menaces et intimidations de la Chine».
Deux membres de la marine américaine sont portés disparus au large des côtes somaliennes depuis jeudi soir, a indiqué l’armée américaine dans un communiqué vendredi. «Une opération de recherche et de sauvetage est en cours pour localiser les deux marins.
Trente ans après l’élection de Nelson Mandela en Afrique du Sud, son parti, l’ANC, va devoir retrouver l’esprit de sa «lutte» acharnée menée contre l’apartheid pour rester majoritaire, à l’aube d’une année électorale cruciale pour son avenir.
Le retrait de la mission de l’ONU en République démocratique du Congo (Monusco) «a commencé», a déclaré samedi le ministre congolais des Affaires étrangères, en espérant que le processus serait achevé à la fin de cette année. Le Conseil de sécurité des Nations unies a lancé, en décembre dernier, le retrait anticipé et progressif de la Monusco, comme réclamé par Kinshasa.
La récente opération de la marine indienne pour empêcher le détournement d’un vraquier au début du mois en mer d’Arabie illustre le renforcement «significatif» de la présence de l’Inde dans ces eaux qui baignent ses côtes occidentales et reflète aussi ses ambitions mondiales, selon des analystes.
Avec des milliers de militaires déployés dans tout l’Equateur, le gouvernement poursuit jeudi son offensive musclée contre les bandes criminelles liées au narcotrafic qui terrorisent le pays depuis quatre jours, et recevra l’appui des Etats-Unis pour «travailler ensemble».
Le conflit au Moyen-Orient prend une nouvelle dimension avec les frappes américano-britanniques menées contre des cibles houthies au Yémen, dans la nuit de jeudi à hier. Jusqu’ici, les Etats-Unis et leurs proches alliés, engagés solidairement dans un soutien inconditionnel à Israël dans sa guerre contre la Bande de Ghaza, avaient tout entrepris pour éviter un tel scénario, mais il est évident que la détermination des Houthis, jouissant de l’appui de Téhéran, a compté dans l’équation, brouillé les calculs de l’engagement occidental dans la région et eu raison de la réserve stratégique de Washington et son escorte de partenaires.
La junte au pouvoir en Birmanie et trois groupes armés ont annoncé hier être parvenus à un accord de cessez-le-feu, facilité par Pékin, dans le nord du pays en proie à des affrontements violents depuis plusieurs mois. «Une réunion s’est tenue à Kunming (en Chine, ndlr). Nous avons conclu un accord de cessez-le-feu», a déclaré à la presse Zaw Min Tun, le porte-parle de la junte. «Nous nous sommes mis d’accord pour rouvrir le commerce frontalier» avec la Chine, a déclaré Tar Bhone Kyaw de l’Armée de libération nationale de Ta’ang (TNLA).
Donald Trump a une nouvelle fois transformé jeudi son procès civil pour fraudes financières en tribune politique, dénonçant une «ingérence électorale» qui serait «orchestrée» par «l’escroc Joe Biden», à quatre jours du début des primaires républicaine dont il est le grand favori.
Les perspectives pour le marché du travail devraient se dégrader bien que «modérément», et ce, face aux crises multiples qui nuisent à la justice sociale.
Le représentant permanent adjoint de la Chine auprès des Nations unies, Dai Bing, a demandé jeudi des efforts de la part de la communauté internationale pour aider l’Afrique de l’Ouest et le Sahel à instaurer la paix et la stabilité, à lutter contre le terrorisme et à développer l’économie.
Les migrations internationales ont connu une intensification au cours des dernières années en raison de nombreux chocs macroéconomiques et de la multiplication des foyers de tension à travers le monde. Ces mouvements migratoires ont été exploités par des politiciens de droite et d’extrême-droite au niveau des pays avancés pour des raisons électorales quitte à recourir à des arguments fallacieux et des données manipulées.
De hauts responsables militaires chinois ont affirmé à leurs homologues américains que la Chine ne fera «jamais le moindre compromis» sur Taïwan et ont exhorté les Etats-Unis à «cesser d’armer» l’île, a indiqué hier Pékin, selon des propos rapportés par l’AFP.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a appelé à une dissuasion nucléaire renforcée et averti qu'il n'hésiterait pas à «anéantir» la Corée du Sud, «principal ennemi» du pays, a rapporté un média d’Etat hier, cité par l’AFP.
Les Houthis du Yémen ont affirmé hier avoir tiré des «drones et des missiles» contre un navire américain, après que les forces britannique et américaine ont dit avoir déjoué «la plus importante attaque» des Houthis en mer Rouge, rapporte l’AFP citant un communiqué.
La Banque mondiale (BM) a annoncé, pour cette année, un taux de croissance de 2,4% de l’économie mondiale, en recul pour la troisième année consécutive, après avoir atteint 2,6% l’année écoulée, selon les données publiées.
Le lancement hier d’un satellite chinois a provoqué l’envoi d’un message officiel d’alerte sur tous les téléphones à Taïwan, quatre jours avant une élection présidentielle cruciale pour la sécurité de la région, rapporte l’AFP.
Cinq mois après avoir plaidé non-coupable d’avoir tenté d’inverser illégalement les résultats de l’élection de 2020, Donald Trump est arrivé hier à la cour d’appel de Washington saisie de sa demande d’immunité pénale en tant qu’ex-Président, rapporte l’AFP.