Les exercices chinois interviennent une journée après la tenue à Camp David, près de Washington, d’un sommet tripartite Etats-Unis, Japon, Corée du Sud pour faire front commun face aux ambitions de Pékin dans la région de l’Asie-Pacifique.
La délégation de la Cédéao est notamment conduite par l’ancien président nigérian, Abdulsalami Abubakar. Elle tente d’apporter une solution pacifique à la crise.
Pyongyang s’en est pris hier à l’ONU, après avoir été accusé devant le Conseil de sécurité de «violations atroces» des droits humains contre sa population, et a qualifié les transfuges nord-coréens de «racailles», selon l’agence officielle KCNA, relayée par l’AFP.
La région de l’Asie- Pacifique constitue un champ de lutte entre les Etats-Unis et ses alliés régionaux d’une part et la Russie et la Chine de l’autre.
La guerre, qui ravage le Soudan depuis plus de quatre mois, a gagné deux nouvelles villes fortement peuplées: Al Facher, l’un des chefs-lieux du Darfour, et Al Foula, capitale du Kordofan-Ouest, a rapporté hier l’AFP.
L’appel à la levée de l'état de siège intervient à l’issue de trois jours d’évaluation menée à Kinshasa par les élus nationaux et provinciaux, des responsables traditionnels, religieux et associatifs, à l’initiative du président Félix Tshisekedi.
Plusieurs églises ont été incendiées et un cimetière vandalisé, hier dans l’est du Pakistan, par plusieurs centaines d’hommes de religion musulmane, après qu’une famille chrétienne a été accusée d’un prétendu blasphème, selon l’AFP citant la police et des services de secours.
Tokyo et Séoul partagent les mêmes préoccupations face à la Corée du Nord et la Chine. Comme ils sont alignés sur Washington pour dénoncer l’offensive russe en Ukraine. «Le Japon et la Corée du Sud sont des alliés clés, pas seulement dans la région mais dans le monde entier», a estimé Antony Blinken.
Les combats opposent la Brigade 444 à la Force Al Radaa, qui comptent parmi les groupes les plus influents à Tripoli, où siège l’un des deux gouvernements qui se disputent le pouvoir dans un pays miné, depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, par des divisions alimentées par la prolifération de groupes armés aux allégeances mouvantes.
Des chercheurs et membres de la société civile «du Sud et du Nord» prennent position «contre les politiques européennes et tunisiennes anti-migrants et anti-Noirs», dans une tribune publiée hier par des médias tunisien, français et italien, rapporte l’AFP.
Face au dirigeant nord-coréen, Kim Jong Un, qui a appelé à accentuer la production d’armes y compris nucléaires, Y. S. Yoon cherche à enterrer la hache de guerre avec le Japon, tout en poursuivant le rapprochement de Séoul avec Washington.
La justice de Géorgie a inculpé lundi l’ex-président américain Donald Trump et 18 autres personnes pour leurs tentatives présumées illicites d’obtenir l’inversion du résultat de l’élection de 2020 dans cet Etat clé, a rapporté hier l’AFP.
Les autorités birmanes ont arrêté vendredi près de 150 Rohingyas soupçonnés d’avoir tenté de fuir le pays, a déclaré un responsable, selon des propos recueillis hier par l’AFP.
Le journaliste turc Baris Pehlivan, sommé par SMS de regagner sa prison pour la cinquième fois en deux ans, s’est présenté hier devant son centre de détention à Istanbul, rapporte l’AFP.
Le gouvernement suédois a présenté hier une nouvelle aide militaire de 3,4 milliards de couronnes (286,6 millions d’euros) à destination de l’Ukraine, en particulier des munitions et des pièces détachées pour compléter les précédents équipements fournis à ce pays en guerre, rapporte l’AFP.
La Commission éthiopienne des droits de l’homme (EHRC), institution publique statutairement indépendante, a affirmé avoir reçu des plaintes pour violations des droits humains «avant et après la déclaration de l’état d’urgence».
Des combats opposant l’armée aux paramilitaires depuis près de quatre mois au Soudan ont eu lieu hier dans différents quartiers de Khartoum et dans une région du Darfour, ont rapporté des habitants de ce pays pauvre d’Afrique de l’Est.
L’armée nord-coréenne doit disposer d’une «force militaire écrasante» et être «prête à faire face à n’importe quelle guerre à n’importe quel moment», a déclaré Kim Jong Un, affirmant qu’elle doit «anéantir» l’ennemi en cas d’attaque.
L’Azerbaïdjan a accusé hier l’Arménie de renforcer ses troupes le long de la frontière entre ces deux pays du Caucase, en vue d’une provocation militaire, une affirmation démentie par Erevan sur fond tensions croissantes, rapporte l’AFP citant la diplomatie azérie.
Cinq migrants tunisiens sont morts et sept autres migrants sont portés disparus après le naufrage d’une embarcation de fortune partie hier des côtes de Sfax, dans le centre-est de la Tunisie, rapporte l’AFP citant tribunal de Sfax.