Le gouvernement se penche à nouveau sur la problématique de la préservation du pouvoir d’achat et la régulation du marché national. Réuni hier sous la présidence du Premier ministre, Nadir Larbaoui, l’exécutif a examiné et étudié «les différentes mesures prises et proposées à cet effet», selon un communiqué du premier ministère.
Au troisième et dernier jour des débats autour du projet de loi de finances (PLF) pour l’année 2025 à l’Assemblée populaire nationale (APN), les membres de cette institution toutes tendances confondues ont appelé à des «réformes approfondies» incluant la «numérisation» des services financiers, tels que les services fiscaux, douaniers, les biens de l’Etat, et à conférer une plus grande transparence à la gestion des recettes et des dépenses.
La Sûreté nationale tend à renforcer sa présence sur le terrain et se rapprocher davantage du citoyen afin de garantir sa sécurité et lutter efficacement contre la criminalité. Cela s’est vérifié hier encore, à travers l’inauguration de deux nouvelles sûretés urbaines dans la wilaya de Boumerdès.
Dans une note adressée hier aux directeurs généraux des banques (n° 804/D.G.C/2024), portant sur le traitement des opérations de domiciliation bancaire, des opérations de commerce extérieur de biens et services, la Banque d’Algérie ( BA) invite les banques à traiter les opérations de et vers l’Espagne «conformément à la réglementation des changes en vigueur».
Quelle folie s’est emparée des dirigeants ! D’où sort ce groupe diabolique qui excelle dans l’horreur dans son horrible programme d’extermination du peuple palestinien ? Pourtant, avant la création d’Israël, les juifs étaient appréciés pour leur humanisme. Lorsque le gouvernement de Pétain leur a fait la guerre pour le compte du régime nazi, en algérie, la communauté juive a trouvé secours et solidarité de la part de la communauté musulmane, au point que les imams, du haut de leurs minarets, appelaient les musulmans à ne pas écouter le régime de Vichy et à aider «nos frères juifs».
Les républicains reviennent au pouvoir aux Etats-Unis et leur politique ne manquera pas d’affecter le reste du monde. En plus de l’élection du prochain président et de son vice-président, le scrutin de ce 5 novembre 2024 devait renouveler la totalité des membres du Congrès et 1/3 des membres du Sénat.
Après un mois d’activités intenses à travers plusieurs localités et établissements, dans le cadre de la campagne de sensibilisation et de dépistage du mois d’Octobre rose, l’association Tudert a enregistré 74 cas suspects sur 1887 ayant effectué le test de dépistage.
Evoquant le projet de réalisation du centre anticancer d’Amizour, dont l’inauguration du service de radiothérapie devrait intervenir avant la fin de l’année, comme promis par le wali en mai au micro de la radio locale, les membres de l’association Tudert rebondissent sur un autre projet auquel ils tiennent.
Dans cet entretien, le Professeur Abdelhak Lakehal dresse un état des lieux de l’incidence du carcinome hépatocellulaire (CHC) en Algérie, en examinant les facteurs de risque, ainsi que les méthodes de dépistage du cancer du foie en Algérie. Ce thème constituait l’un des axes centraux du Congrès international de l’Association scientifique des pathologies hépatobiliaires et pancréatiques (ASPHP), qui s’est tenu le 31 octobre à l’hôtel Marriott de Constantine.
Aboutissement d’un long processus. Le 1er Novembre 1954, correspondant à la date du déclenchement de la Guerre de libération nationale, dont nous célébrons cette année le 70e anniversaire, n’était pas une idée venue du néant. Il est le fruit de plusieurs décennies de luttes multiformes contre un système colonial inique. Comment ces luttes ont-elles débouché sur une révolution armée ? Quel est le rôle de la classe politique algérienne de l’époque ? Des historiens nous en parlent.
Une multitude de sigles pour une même cause. Le nationalisme algérien n’est pas porté par une seule voix. Au contraire, les voies étaient multiples. Divers courants y étaient représentés, en dépit de la répression du colonialisme. Un véritable multipartisme a, en effet, vu le jour en Algérie bien avant l’indépendance. Le Mouvement national avait plusieurs facettes.
Dans cet entretien, Amar Mohand-Amer évoque les évolutions du camp indépendantiste. Pour lui, pendant toute la durée de la guerre et même avant le 1er Novembre 1954, les «tensions, clivages et oppositions sont légion». «Ce furent des confrontations objectives imposées par la guerre et ses nombreux enjeux et défis», souligne-t-il. Le jeune historien, qui est l’un des plus persévérant de sa génération, a une appréhension : «Le risque ou le danger est que notre histoire nationale ne soit plus à l’avenir du ressort de nos jeunes collègues.»
Notre mémoire est un monde plus parfait que l’univers : elle rend la vie à ce qui n’existe plus.» Cette citation, attribuée à l’auteur français Guy de Maupassant, résume le travail de Cherif Chikhi. Son livre témoignage, Guerre de libération nationale 1954-1962, Souvenirs d’un village martyr (Dahlab, 2024), nous parle avec des mots bien sentis de ces vies simples prises dans la tourmente de la guerre.
Donald Trump a battu la vice-présidente Kamala Harris dans un retour politique historique, en reprenant la Maison Blanche après une défaite électorale en 2020, selon les prévisions de CNN.
Une autre tache noire dans l’histoire du colonialisme français en Algérie. Le 6 novembre 1959, l’armée coloniale avait commis un crime «atroce et impardonnable» resté gravé à ce jour dans la mémoire de nombreux habitants des Issers, à 25 km de Boumerdès.
Il faut dire que la Kabylie, particulièrement la région de Tizi Ouzou, était prête pour l’action armée avant même le déclenchement de la guerre de Libération nationale, le 1er novembre 1954, même si elle n’était pas représentée dans la première réunion du Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA) créé en mars 1954. Beaucoup de gens de la région, les émigrés surtout, ont rejoint l’Etoile nord-africaine dès 1926, puis le PPA-MTLD
Comme presque chaque année, la réévaluation des projets accapare une part importante de budget de l’Etat.
L’activité industrielle a reculé au deuxième trimestre 2024 par rapport au trimestre précédent, selon une récente enquête d’opinion auprès des chefs d’entreprises industrielles, initiée par les services de l’Office national des statistiques (ONS).
A l’occasion de l’inauguration, hier, du Salon national de la production et de l’exportation, qui se tient du 5 au 7 novembre au complexe Ahmed Bey (Zénith) de Constantine, le ministre du Commerce, Tayeb Zitouni, a salué les progrès accomplis dans le domaine de la production locale, soulignant : «Nous progressons vers une maîtrise progressive et rationnelle de nos flux commerciaux, tant pour les importations que pour les exportations, de sorte que l’exportation ne devienne ni un fardeau pour nos produits et besoins nationaux, ni une source de fuite de devises et de gaspillage de ressources étrangères.
Nombreux sont les députés qui ont soulevé le problème de la disponibilité du café, «d’acquisition d’un véhicule» mettant en avant «les lenteurs» et «toute la cacophonie qui caractérise ce chantier».