Depuis sa victoire le 5 novembre, le président élu multiplie les nominations parfois surprenantes. Avec Linda McMahon, le républicain entend offrir plus de latitude aux États dans leur programme scolaire.
Brendan Carr, que Donald Trump a qualifié de «guerrier de la liberté d’expression», reprendra «le contrôle des Big tech» avec le soutien d’Elon Musk.
Celle qui était la porte-parole de la campagne du milliardaire a été choisie vendredi par le président élu pour devenir le nouveau visage de l’exécutif américain.
«Nous devons nous occuper de nos forces armées. On l’a déjà fait, on va devoir le refaire», a martelé jeudi le président élu, lors d’un gala dans son fief de Mar-a-Lago, à Palm Beach, en Floride.
Mercredi, le président sortant démocrate doit recevoir son prédécesseur et successeur républicain dans le Bureau ovale, que ce dernier occupera pour de bon après sa prestation de serment le 20 janvier.
À l’issue de ce sommet de l’Apec, au Pérou, le président chinois se rendra au Brésil, où il participera au sommet du G20.
Si sa nomination est confirmée par le Sénat, Pete Hegseth prendra à 44 ans la tête des forces armées les plus puissantes de la planète.
Le patron de Tesla, SpaceX et du réseau social X a investi plus de 100 millions de dollars dans la campagne du républicain pour sa réélection à la présidence des États-Unis.
Donald Trump a prévu de nommer des proches à des postes-clés de sa future administration, avec notamment des tenants d’une ligne dure face à la Chine, à l’image de l’influent sénateur de Floride, Marco Rubio, pressenti comme prochain chef de la diplomatie américaine.
Le futur président américain envisagerait de nommer le sénateur républicain de Floride, Marco Rubio, au poste clé de secrétaire d’État, selon le New York Times.
Le Kremlin, qui a démenti hier que le président russe, Vladimir Poutine, et le président américain élu, Donald Trump, se soient parlé, estime n'avoir reçu «aucun signal» de l'Occident pour des discussions sur le conflit avec l'Ukraine, rapporte l’AFP.
Depuis mardi dernier, les Européens jurent qu’ils redoubleront d’efforts pour compenser le retrait attendu des États-Unis, mais peu iront à Bakou. Ni Emmanuel Macron, ni Olaf Scholz ne participeront au sommet d’une centaine de dirigeants mardi et mercredi.
Le président-élu a annoncé avoir proposé à la représentante républicaine Elise Stefanik de devenir ambassadrice des États-Unis auprès de l’ONU. Tandis que l’ancien directeur de l’agence de contrôle des frontières retrouve son poste.
Le président élu aurait aussi rappelé à Vladimir Poutine l’ampleur de la présence militaire américaine en Europe, selon le Washington Post. Le Kremlin a qualifié ces informations de «pure invention».
L’un des objectifs de Joe Biden dans les semaines qui lui restent sera de «placer l’Ukraine dans la position la plus forte possible sur le champ de bataille».
Alors que le conflit entre Kiev et Moscou fait toujours rage, le Kremlin a indiqué voir des «signaux positifs» venant du président élu américain Donald Trump. «Les signaux sont positifs. Trump, pendant sa campagne électorale, a dit qu'il perçoit tout cela (le conflit en Ukraine, ndlr) via des accords.
L’ex-président, qui avait perdu cet État-clé par à peine 11.000 voix en 2020, renoue avec le succès et empoche onze grands électeurs supplémentaires.
Les tenors de la première administration Trump ne feront pas partie du prochain gouvernement américain malgré des rumeurs qui allouaient déjà le Pentagone à Mike Pompeo, ex-directeur de la CIA.
Le roi du Maroc, Mohammed VI, semble être agacé par les derniers développements concernant le dossier sahraoui, surtout après le revers subi en Europe. Sa dernière sortie confirme, en tout cas, sa colère. Dans un discours prononcé, mercredi dernier à l’occasion de l’anniversaire de la colonisation par son pays du territoire du Sahara occidental, événement appelé dans la monarchie «La marche verte (de Hassan II)», le souverain marocain s’en prend à l’Algérie, sans la citer directement.
Très mauvaise nouvelle pour le peuple palestinien, son ennemi mortel vient d’entrer à la Maison-Blanche. Le psychopathe Benyamin Netanyahu a tout fait pour prolonger la guerre, engageant l’armée israélienne dans la pire campagne de massacres et de destructions depuis la création d’Israël.