Le 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) se poursuit au Palais des expositions des Pins maritimes, à l’ouest de la capitale, avec l’organisation de plusieurs rencontres, débats et vente-dédicaces.
L’écrivain français Albert Camus a vu ses textes traduits en plusieurs langues et dialectes du monde. Jean-yves Guérin, qui en est l’un des meilleurs spécialistes, parle de 75 traductions du texte le plus lu de l’auteur de l’absurde, L’Etranger (1942). «Il existe aujourd’hui 75 traductions de ce roman dans le monde. Il est traduit au Népal, aux îles Féroé, en javanais, en neuf idiomes indiens...», précise à L’Express le professeur émérite de littérature française à l’université de la Sorbonne nouvelle.
Jugurtha Abbou est spécialiste en psychologie sociale. Il est écrivain et militant politique. Il a été membre du Conseil national puis Secrétaire national à la communication du FFS, ce qui lui a permis de s’imprégner de la pensée de Hocine Aït Ahmed. Il revient dans cet entretien sur son ouvrage intitulé «La pensée de Hocine Aït Ahmed». A travers cette œuvre, Jugurtha Abbou se fixe le but de représenter de façon succincte la vision de Hocine Aït Ahmed et sa pensée politique, économique et identitaire.
L'humoriste Pierre Palmade s'est enfin confié sur l'accident qu'il a provoqué et sur son addiction à la drogue. Lors d'une audition devant une juge d'instruction au tribunal judiciaire de Melun en septembre, l'humoriste a révélé sa prise de conscience quant à la gravité de l'accident.
Excellente nouvelle pour ses nombreux fans qui attendent du nouveau, avec impatience ; la star du pop-rock kabyle, Ali Amran, nous revient avec un album inédit de 12 reprises (et quelles reprises !) du grand maître de chaâbi, l’incomparable Cheikh El Hasnaoui, fondateur de la chanson kabyle «moderne».
L’écrivain guinéen Tierno Monénembo a dialogué avec la romancière camerounaise Calixthe Beyala dans l’espace africain au 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) sur l’Afrique, la littérature et l’avenir. Le débat a débuté avec une question provocante : «Qui est l’homme Tierno Monénembo ?»
Le gala de clôture de la 38e édition de la Mostra de València-Cinema del Mediterrani s’est déroulé dans le lieu même où Paolo Sorrentino a reçu la palme d´honneur il y a quelques jours, la Sale Iturbi du Palau de la Música rénovée, avec plusieurs clins d’œil à l’univers du cinéaste italien.
La 10e édition du Forum international sur la vie et l’œuvre de l’écrivain et dramaturge algérien d’expression française, Kateb Yacine (1929-1989), s’est ouverte, le 28 octobre, au centre culturel islamique Boulouh Mbarek de la ville de Guelma.
La pensée africaine ou l’affirmation de soi aux XXIe siècle» était le thème d’une rencontre qui a rassemblé l’écrivain et universitaire béninois Mahougnon Kakpo, la romancière camerounaise Calixthe Beyala, la sociologue sénégalaise Aoua Bocar Ly-Tall, l’éditeur guinéen Sansy Kaba Diakité et l’universitaire algérien Benaouda Lebdai. Le débat a été modéré par l’écrivain camerounais, Jean-Célestin Edjangué.
Que faire ? D’abord des films, des documentaires, ou faire la guerre ou manifester ou encore prier, se mettre en colère ou prendre des cachets. Surtout ne pas regarder la télévision, mais voir des films peut-être.
Le coup d’envoi du 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) a été donné, mercredi soir, au Palais des expositions des Pins maritimes (Safex), à l’ouest d’Alger. Le SILA durera jusqu’au 4 novembre avec la participation de 61 pays. «L’Afrique écrit son avenir» est le slogan choisi cette année pour le salon.
La pensée africaine et l’affirmation de soi au XXIe siècle», intitulé du premier colloque marquant l’ouverture des activités de l’espace africain au 26e Salon international du livre d’Alger (SILA), a été animé, jeudi, à Alger, par un panel d’écrivains et universitaires africains, qui ont plaidé pour la richesse et la pluralité culturelle de l’Afrique, comme «facteur d’unité et de développement autonome».
Debout face au micro, le comédien Phil Cruz fait mine de brandir une amulette pour triompher du diable, en enregistrant le dernier épisode d’un des rares feuilletons radiophoniques qui subsistent aux Philippines et font le bonheur des auditeurs.
Native de Meskiana, dans le nord du vaste pays chaoui, Yamina Mechakra est l’auteure de deux romans, le premier préfacé par Kateb Yacine, reste le plus connu. Le second, qui présente formidablement son expérience de psychiatre, l’est malheureusement moins.
Le décès du chanteur algérien d’expression Kabyle, Cherif Hamani, survenu vendredi à Paris des suites d’une longue maladie, a suscité une vive émotion au sein de la famille artistique et du milieu culturel à Tizi-Ouzou, exprimée à travers des hommages.
Au niveau d’un terminus de tuk-tuks très fréquenté de Manille, le chauffeur Edgar Soriano glisse une pièce de monnaie dans une machine et entonne sa chanson préférée en plein milieu de la journée. Il n’est jamais trop tôt - ni trop tard - pour un karaoké aux Philippines. Des villes aux campagnes, on trouve des machines partout, dans les bars bon marché des villages reculés comme dans les boîtes à karaoké modernes.
Un hommage a été rendu, vendredi, au Théâtre régional Abdelmalek Bouguermouh de Béjaïa, à la comédienne Fatiha Soltane et au metteur en scène Mouhoub Latrèche, lors de la clôture du 12e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB). Ce festival s’est déroulé du 14 au 20 octobre.
Il s’est éteint, hier, en France. Le chanteur Cherif Hamani a tiré sa révérence à l’âge de 67 ans, des suites d’une longue maladie. Il est décédé à l’hôpital Avicennes, à Bobigny, en région parisienne. Sa disparition est une grande perte pour le monde de la chanson kabyle qui vient de perdre l’un de ses monuments.
La comédienne algérienne Asma Cheikh a décroché le Prix de la meilleure comédienne au concours officiel de la 4e édition du Festival international du théâtre de Baghdad (Irak), qui s’est déroulé du 10 au 18 octobre, pour son rôle dans la pièce théâtrale Nostalgia, a-t-on appris auprès de la coopérative du Théâtre du Point d’Oran dans laquelle la comédienne évolue.
Naker lahsan (L’ingrat) est la nouvelle pièce du Mouvement théâtral de Koléa (MTK). Ecrite et mise en scène par Youcef Taouint, la pièce défend ouvertement la cause de l’artiste, un artiste qui peine à se faire écouter par la société.