L’on se souvient, après l’invasion de 2003, des forces américaines contre le pays du Tigre et de l’Euphrate, de la mise à sac de l’immense patrimoine babylonien qui se résume dans le pillage d’une collection estimée à plus de 15 000 pièces archéologiques du Musée national d’Irak, à Baghdad, dont 5000 sceaux-cylindres d’une très grande valeur.
Les lauréats du concours littéraire national Oum Sihem ont été honorés, jeudi lors d’une réception organisée en leur honneur à la maison de la culture Zeddour Brahim Belkacem d’Oran.
A l’initiative d’Avicenne Club, un club estudiantin, affilié à la faculté de médecine de l’université Oran 1, 13 artistes du domaine médical exposent leurs œuvres au Musée d’art moderne d’Oran (MaMo), depuis mardi.
Une année, jour pour jour, après le premier coup de manivelle donné par Ali Bouguera, wali de Tiaret, à la série filmique enfantine Hikma Wa Ibra, de l’entreprise de production culturelle et cinématographique des frères Zerrouki, marque le pas.
La Cour constitutionnelle a organisé, mardi, une cérémonie de distinction des lauréats du concours des meilleurs travaux scolaires artistiques avec comme thème «La Constitution et la citoyenneté», en coordination et en collaboration avec le ministère de l'Education nationale et le Programme des Nations unies pour le développement en Algérie (PNUD).
La maison de la culture Ould Abderrahmane Kaki de Mostaganem abritera la 10e édition du Festival culturel national de la poésie melhoun dédiée à Sidi Lakhdar Benkhelouf, du 21 au 23 décembre, a-t-on appris mardi du commissaire de cette manifestation.
L’écrivain Abdelkader Hammouche, auteur de plusieurs romans et essais, organise le 23 décembre, de 14h à 17h, à la librairie des Beaux- Arts, sise 28, rue Didouche Mourad, une séance de vente-dédicace de la seconde et dernière partie de son dernier roman Le passé ressuscité.
Le long métrage de fiction, Chroniques fidèles survenues au siècle dernier à l’hôpital psychiatrique Blida-Joinville, au temps où le docteur Frantz Fanon était chef de la cinquième division entre 1953 et 1956, du réalisateur algérien Abdenour Zahzah, sera projeté au 74e Festival international du film de Berlin (Allemagne), prévu du 15 au 25 février 2024, ont indiqué les organisateurs sur le site officiel de la Berlinale.
Après avoir exposé en 2019 à Alger, l’artiste peintre et plasticienne, Houria Menna, dévoile au public sa dernière collection de peinture au public jusqu’au 20 décembre à la galerie Mohamed Racim, à Alger.
Le forum, organisé dernièrement par l’Association algérienne pour la préservation du patrimoine historique et de la mémoire nationale à Touggourt, a mis l’exergue sur une nouvelle publication d’Abdelkader Mihoubi, écrivain local spécialisé dans l’histoire et le patrimoine.
Les dix finalistes du championnat de lecture, organisé chaque année par la bibliothèque principale de lecture de la wilaya de Ouargla, ont entamé les dernières séances d’éloquence. Une belle ambiance se dégageait en cette matinée de samedi de la salle dédiée à la préparation de la finale du 23 décembre.
L’édition du FNTP 2023 est dédiée au comédien Sid Ahmed Agoumi. «Agoumi n’est plus à présenter. Nous sommes ravis que le parcours de ce grand artiste algérien soit évoqué lors du festival», a déclaré Mohamed Yahiaoui, commissaire du festival, lors d’une conférence de presse, organisée hier, à l’espace M’hamed Benguettaf, au TNA.
Nulle Terre Ailleurs » ou « Al ardh fi maken akhar », c’est le titre du dernier roman de la journaliste écrivaine Nadia Agsous et auquel la librairie « Gouraya » a organisé sa vente dédicace à Béjaïa.
« Goût de terroir » est à vrai dire inclassable comme texte. Il n’est ni une œuvre romanesque, ni un essai, mais relève plutôt du récit-témoignage teinté de nostalgie sur un temps qui fut, dans les alentours du milieu du 20ème siècle, celui des jeunes années de l’auteur, mais sans être autobiographique. Boualem Belhadri, son auteur, un ingénieur hydraulicien ayant également exercé en tant que collaborateur de plusieurs journaux, s’est mis à l’écriture longue, à l’heure de la retraite. Il en est à son troisième titre.
L'écrivain Yasmina Khadra, de son vrai nom Mohammed Moulessehoul, a annoncé, hier, avoir subi une opération chirurgicale qu'il a décrite comme "sévère et traumatisante".
Poète et traductrice reconnue, Lamis Saïdi évoque dans cet entretien sa traduction du roman d’Arris de Yamina Mechakra (1949-2013) (El Kalima). «La traduction reste toujours pour chaque culture, cette ressource sûre en souffles de vie», note-t-elle. Projet en vue : Le déchet de passions : une traduction vers l'arabe d'une collection de poèmes, de nouvelles et d'articles du poète assassiné Youcef Sebti (1943-1993) qui paraîtra en 2024 en version bilingue aux éditions Terrasses.
Il avait subjugué le public algérien par sa voix et ses chansons, marquées par son cachet particulier, bien que sa carrière artistique ait été très courte.
Le décor, c’est généralement ce qu’il y a en plus, accessoire et secondaire, relégué au fond. Il est pourtant, comme les accessoires, partie intégrante d’un film, qui peut être raté à cause du décor. D’où la question des studios de tournage en Algérie, du décor artificiel ou naturel, et des films qui se tournent à l’étranger, faute de décors.
Peintre exposé partout dans le monde, écrivain et cinéaste, plasticien, dessinateur et poète, il aura tout fait, jusqu’à chef décorateur parmi les plus recherchés par les cinéastes algériens, après avoir été scénographe au théâtre. Machaho de Belkacem Hadjadj, La montagne de Baya de Azzedine Meddour, Morituri de Okacha Touita ou Exectution de Youcef Mahsas, c’est lui, en plus de deux courts métrages de fiction qu’il a réalisés en adaptant ses propres textes, Winna en 2019 et Le chant de la sirène en 2022, largement basés sur le décor.
Le MTK (Mouvement théâtral de Koléa) vient de se distinguer une énième fois lors de la 13e édition du festival de présélection pour le théâtre professionnel du TNA, un événement culturel qui aura lieu du 22 au 30 décembre.