Le rapport d'autopsie, publié mercredi par des médias brésiliens, révèle que le décès d'une jeune fan brésilienne de Taylor Swift, survenu lors d'un concert de la star américaine en novembre à Rio, est attribué à un phénomène d'«épuisement thermique».
Un public nombreux a assisté, mardi dernier, au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi à Alger (TNA), à la générale de la pièce «Le Banquet», en compétition au 16ème Festival national du théâtre professionnel d’Alger (FNTP) qui se poursuit jusqu’au 31 décembre 2023.
La librairie Cheikh de Tizi Ouzou organise aujourd’hui, à partir de 13h30, une rencontre littéraire avec l’auteur et inspecteur Habib Allah Mansouri autour de son livre Lexique de berbère moderne, Origines dialectales des néologismes, publié par les éditions Talsa.
De deux choses l’une : ou la pièce Houwa wa Hiya relève du génie créatif, et à ce moment là, il faudrait que les spécialistes le prouvent aux non initiés ou alors il faut se résigner à accepter le fait que le travail reste à son niveau d’incompréhensibilité, à la limite ennuyeux.
l Un nouveau spectacle théâtral sur la vie et la résistance du roi numide Jugurtha sera présenté en avant-première le 6 janvier prochain au Théâtre régional Kateb Yacine de Tizi Ouzou (TRTO), a-t-on appris lundi des organisateurs.
Farid Benyaa présente jusqu’au 24 janvier 2024, dans sa galerie éponyme à Alger, une exposition consacrée à «La baie d’Alger, El Bahdja». L’architecte nous parle de son travail comme d’une quête. Il dessine la baie d’Alger avec des émotions tendres. Il évoque son amour pour El Bahdja tout en ne manquant pas de rappeler que ses 120 œuvres aux vues panoramiques époustouflantes sont le fruit de huit ans de travail. Un exploit technique qui force le respect.
Craintes, peur, mais aussi victoires et exploits d’enfants à travers cinq enfants se mouvant à travers les 64 pages que contient ce premier roman de Lola Benmansour. Le livre, le monde, la vie.
Le romancier algérien Waciny Laredj a remporté le Prix émirati «Great Arab Minds», dans la catégorie littérature et art, en reconnaissance de ses contributions littéraires exceptionnelles dans le roman algérien et le monde arabe, a rapporté la presse émiratie.
La pièce Istirahatou El mouharidjine (La récréation des clowns) marque le retour de Wahid Achour à la mise en scène. La pièce, en compétition au 16e Festival national du théâtre professionnel d’Alger (FNTP), a été présentée, dimanche 24 décembre au soir, au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (TNA).
Le commissariat du Festival culturel national de la poésie melhoun dédié au Cheikh Sidi Lakhdar Benkhelouf (XVIe siècle) de Mostaganem a annoncé la sortie dimanche d’une nouvelle publication intitulée Recueil du Cheikh Omar Mokrani (1908-1980), a-t-on appris du commissaire de cette manifestation Abdelkader Bendamèche.
Présent à la 26e édition du Salon national du livre d’Alger, le Franco-Algérien Mokhtar Amoudi a remporté haut la main le prix Goncourt des détenus. Né en 1988 et élevé en banlieue parisienne, l’auteur a passé son enfance et son adolescence en famille d’accueil.
La direction du tourisme et de l’artisanat (DTA) de Tipasa, grâce au soutien de son ministère de tutelle, vient de réouvrir le centre historique de broderie traditionnelle de Cherchell, après avoir effectué des travaux de réaménagement et de réagencement de cette infrastructure du secteur de l’artisanat, qui a fait l’objet d’une amputation scandaleuse de l’une de ses parties pour être transformée en un fastfood.
A l’ouverture de l’exposition artistique «Journées des arts et de l’architecture d’Alger», qui se tient au Palais de la culture Moufdi Zakaria, Mme Mouloudji a fait savoir que cet atelier, prévu le 25 janvier prochain, s’inscrivait dans le cadre de la révision de cette loi en vigueur depuis 1998, invitant les architectes, les chercheurs et les artistes à y prendre part.
Habib Tengour est un écrivain, poète et sociologue algérien né à Mostaganem le 29 mars 1947. En 1959, Habib Tengour arrive en France avec son père, qui était enseignant de langue arabe et a appris le métier de plombier à Nantes.
La dixième édition du Festival culturel national de la poésie melhoun, dédiée au Cheikh Sidi Lakhdar Benkhelouf (16e siècle) a pris fin, samedi soir à Mostaganem.
Le rire naïf d’un nourrisson fuse dans une salle de spectacle à Dakar : «Oh le bébé a kiffé», s’amuse Jordan en plein dans son numéro de stand-up l Le rire reprend. «Wesh on a compris que tu étais là petit». La petite centaine de spectateurs s’esclaffe.
Un public nombreux s’est déplacé pour assister à la cérémonie d’ouverture du festival qui se déroulera jusqu’au 31 décembre. La soirée a été marquée par la présence de la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, du ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Laïd Rebiga, et du conseiller du président de la République chargé de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la formation professionnelle, de la culture, des affaires religieuses et des zaouïas, Mohamed Seghir Saâdaoui.
l Avec l’affaire des otages israéliens et palestiniens aux mains des négociateurs du Qatar, retour sur l’histoire des otages américains de Téhéran en 1979, véritable thriller avec ses rebondissements, personnages de l’ombre et intermédiaires, avec au centre, l’Algérie comme négociatrice, ce que peu de films sur le sujet n’ont évoqué. Heureusement, un documentaire algérien qui sort en janvier va laver l’affront.
l Une année après la sortie du premier tome (I-Les chemins de traverse) de son roman Le passé ressuscité relatant les pérégrinations d'un jeune cadre algérien (Ferhat) face aux pesanteurs administratives et socio-culturelles qui minent la société ultra conservatrice dans laquelle il évolue avec son épouse (Hassina), l'essayiste Abdelkader Hammouche vient tout récemment de livrer, comme promis, son second opus qui s'inscrit dans la même lignée chronologique aussi bien littéraire que romanesque.
lLa cuvée 2023 du théâtre régional d’Oran, Houwa w hia (lui et elle), a eu sa générale mercredi dernier en présence d’un nombreux public oranais.