Dès le début de la colonisation de l’Algérie, la France a mené plusieurs mesures répressives à l’encontre des Algériens, comme la ségrégation géographique qui s’est organisée entre les communautés, voire le partage des villes, à l’instar d’Alger et de Constantine.
L’auteure Suzanne El Kenz était visiblement émue et heureuse de se retrouver, samedi dernier, à Alger pour la présentation de son troisième roman De glace et de feu, devant un auditoire nombreux, de surcroît sous le charme.
Artissimo Hub créatif culturel organise, jeudi 18 janvier, à 18h, un hommage au regretté journaliste et écrivain Améziane Ferhani.
Le poète russe Lev Rubinstein, figure de la dissidence soviétique et critique du Kremlin, est mort dimanche à l’âge de 76 ans, a annoncé sa fille, six jours après avoir été renversé par une voiture et grièvement blessé à Moscou.
L’ancien sprinter algérien Miloud Benaroum est décédé, il y a quatre jours, à Oran, à l’âge de 76 ans. Le défunt , sélectionné à l’époque en Equipe nationale (post-indépendance) dans l’épreuve du 100m a participé au 1er championnat Maghrébin d’athlétisme organisé à Rabat, en 1967.
La 4e édition du Festival du film méditerranéen d’Annaba se déroulera du 24 au 30 avril prochain, au théâtre régional Azzedine Medjoubi et divers établissements culturels d’Annaba.
Des mémoires posthumes de la chanteuse Lisa Marie Presley, enfant unique de la légende du rock’n roll Elvis Presley, sortiront en octobre, ont annoncé jeudi sa fille et les éditions Random House.
Quinze heure tapantes, la coupole Mohamed Boudiaf d’Alger est comble. Le public est déjà en place, plus aucune place de libre. C’est à peine 13h passées que l’accès était déjà ouvert. Salle d’une capacité de 15 000 spectateurs pour les concerts n’a pas suffi pour contenir le public très nombreux, constitué essentiellement de familles, contraintes d’occuper les allées, dont certains sont restées debout, mais aucun incident à signaler.
Les participants aux Journées nationales de la halqa populaire sur le thème «Mémoire populaire et identité algérienne», organisées au Théâtre régional de Sidi Bel Abbès, ont appelé à la nécessité de valoriser le patrimoine de l’art de la halqa populaire et d’œuvrer à sa préservation et le transmettre.
Ravi aux siens de manière imprévue malgré quelques soucis de santé, l’homme a consacré toute sa vie au théâtre dans sa conception la plus large, c’est-à-dire, incluant les aspects formation, organisation d’événements et de festivals, etc.
Guitare en main, chaque fois que de besoin, il illustre son propos pour le plus grand plaisir de notre oreille. A un moment, il entonne dans une prenante et mélodramatique tonalité, mais sans emphase, Darou sehour, darou (Ils ont osé la sorcellerie), dans un remarquable timbre de voix, voguant délicieusement sur une crête entre asri wahrani et raï, un tube dont il a fait cadeau à Khaled au tout début des années 1980 à la faveur de leur compagnonnage artistique.
Dans ce cadre, le lauréat du premier prix dans la catégorie «Littérature d’expression amazighe et traduite en tamazight», l’enseignant de langue amazighe, Alaeddine Tafssast (Batna), a déclaré à l’APS que ce Prix était «une excellente initiative du président de la République pour encourager la créativité dans cette langue qui porte l’identité nationale et sauvegarde la mémoire et le legs culturel national», précisant que son roman primé abordait «la question de l’attachement aux valeurs et aux principes face aux vicissitudes de la vie».
Les inscriptions à la deuxième édition du concours de chant populaire féminin «Urar Lkhalat», organisée par la Direction de la culture et des arts de la wilaya de Tizi Ouzou, sont ouvertes, a-t-on appris jeudi auprès de cette institution.
Elle a ouvert ses portes en 2018. Une gigantesque infrastructure purement culturelle qui impressionne le regard du visiteur. Elle avait été construite sur un terrain d’une surface de 42 000m2, selon une incroyable architecture qui incite à la méditation.
L’APC d’Amizour en collaboration avec l’association Avalportt de Taddert Tamokrante ont, mardi 7 janvier à 17h 30 min, lancé la 15ᵉ édition du Festival du théâtre amateur à la salle de Malek Bouguermouh de la ville d’Amizour.
Mu par une farouche volonté de préserver la culture amazighe, Boubaker Kadri, chercheur et écrivain natif de la wilaya de Khenchela, parmi les plus connus, a consacré 25 ans de sa vie à l’enrichissement de la Bibliothèque nationale et à la transcription et l’enregistrement du patrimoine oral amazigh.
Elle est amérindienne, sourde et amputée d’une jambe : la nouvelle super-héroïne, Marvel, mise sur son profil atypique pour relancer une franchise en perte de vitesse chez Disney, au moment même où son patron semble vouloir s’extirper du front des guerres culturelles américaines. La série «Echo», qui a débuté mardi sur les plateformes de streaming Disney+ et Hulu, suit les aventures de Maya Lopez, une ex-criminelle de New York qui redécouvre ses racines amérindiennes dans sa ville natale d’Oklahoma.
Un grand spectacle en solidarité avec les Palestiniens est prévu le samedi 20 janvier 2024 à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaïh, à Ouled Fayet, à l’ouest de la capitale, «Salam lel Falestine» (Paix pour la Palestine).
A l’occasion du Nouvel an amazigh 2974, le poète et artiste légendaire de la chanson kabyle, Lounis Aït Menguellet, animera un méga-concert privé, le 12 janvier, à partir de 15h au niveau de la couple Mohamed Boudiaf, à Alger.
Depuis le 6 janvier, l’espace de la Fondation culturelle Ahmed et Rabah-Asselah abrite une exposition collective picturale intitulée Souvenirs et patrimoine, d’une trentaine de tableaux des peintres Waheb Khaled Khodja, Samir Khalfallah et Yacine Nouar.