La procédure d'appel d'offres était «très concurrentielle» et a abouti à une transaction «conforme aux exigences de moindre coût», a assuré la FDIC.
La Banque de développement local (BDL) a annoncé, hier dans un communiqué, le lancement de la commercialisation de l’assurance voyage, en collaboration avec la société d'assurance de prévoyance et de santé Amana, à partir d'aujourd'hui.
L’ouverture du capital (privatisation partielle ou complète) des banques publiques en Algérie est une étape importante qui devrait améliorer la qualité de service, renforcer les performances du système bancaire et contribuer davantage à soutenir les objectifs de croissance du pays.
La lutte contre l’inflation mondiale, par le biais, entre autres, d’un relèvement des taux d’intérêt directeurs, est porteuse de risques sérieux de déstabilisation du secteur financier mondial. Une partie de ce dernier pourrait désormais faire face à une crise de solvabilité après avoir subi une crise de liquidité le mois dernier.
La Banque nationale d’Algérie (BNA) a octroyé à sa clientèle près de 13 000 crédits en 2022 d’une valeur avoisinant 1600 mds DA, dédiés majoritairement au financement des projets d’investissement, a appris l’APS auprès de cette banque publique. Selon les données de la BNA, le nombre de dossiers de crédit traités en 2022 a atteint les 12 590 dossiers contre 11 058 en 2021, soit une hausse de 13,85%.
Le feuilleton de la crise bancaire étasunienne continue avec l’annonce hier du rachat de la Silicon Valley Bank (SVB) par l’autre américaine First Citizens.
Le directeur de la finance islamique à la Banque extérieure d’Algérie (BEA), Hassam Akacha, a affirmé que le montant global des dépôts a été estimé à 21 milliards de DA jusqu’à la fin de la semaine dernière.
La liquidation de la banque Credit Suisse aurait causé des dommages économiques "considérables", estime la ministre suisse des Finances, Karin Keller-Sutter, dans un entretien publié samedi, par le quotidien Neue Zürcher Zeitung (NZZ).
Les inquiétudes et les turbulences sont toujours de mise dans le secteur bancaire après la crise déclenchée par la faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) aux Etats-Unis.
Le titre de Deutsche Bank, la première banque allemande, chute vendredi de plus de 10% après la forte augmentation du coût de l'assurance contre le risque de défaut (CDS), qui alimente les inquiétudes sur la résilience des banques européennes.
Les yeux sont rivés mercredi sur la banque centrale américaine (Fed), qui achève sa réunion et dira si elle relève ses taux, au moment où la confiance semble revenir sur les marchés après deux semaines de turbulences dans le secteur bancaire.
La Banque centrale américaine se réunira aujourd’hui et demain afin de trancher sur l’option à choisir pour en finir avec la crise bancaire. Devant la Fed, le choix entre l’augmentation des taux d’intérêt et potentiellement alimenter la crise bancaire ou bien les maintenir à leur niveau et risquer une hausse de l’inflation.
La plus grande banque de Suisse UBS, poussée par les autorités, doit absolument finaliser dimanche le rachat de sa rivale Credit Suisse pour espérer éviter une débâcle et une vague de panique contagieuse sur les marchés lundi.
Semaine chaotique pour le secteur des finances américain dont la faillite de certaines banques fait craindre aux établissements financiers occidentaux un effet de contagion. L’économie mondiale reste aux aguets face aux nouvelles venant d’outre atlantique craignant une récession semblable à celle provoquée par la crise des subprimes en 2008.
Credit Suisse doit trouver les moyens de rassurer coûte que coûte les marchés avant leur ouverture lundi matin, même si la deuxième banque de Suisse est l'une des 30 banques au niveau mondial considérée comme trop grosse pour faire faillite.
L’Algérie peine toujours, semble-t-il, à mettre sur rails son ambitieux programme de modernisation des systèmes d’information (SI) de l’ensemble des banques publiques, à savoir le Crédit populaire d’Algérie (CPA), la Banque nationale d’Algérie (BNA), la Caisse nationale d’épargne et de prévoyance (CNEP), la Banque extérieure d’Algérie (BEA), la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR) et la Banque de développement local (BDL).
Il y a des concertations entre la Banque centrale libyenne et l’entreprise nationale du pétrole pour priver le gouvernement Dbeiba de ressources complémentaires. Les décideurs financiers libyens veulent contrôler les dépenses et ne pas prendre parti dans le conflit politique.
Il apparaît d’emblée, que notre culture économique est restée figée sur l’économie de rente pétro-gazière qui est par nature une négation de gouvernance et du management.
La responsabilité des banques a été mise en avant par le gouverneur de la Banque d’Algérie, du fait que la reprise du crédit n’a pas été au rendez-vous en dépit du redressement des liquidités à fin 2021.