La fête de l’Aïd a une nouvelle fois été gâchée par l’hécatombe sur les routes. Plusieurs accidents de la circulation - parfois meurtriers - ont été annoncés par les services de la Protection civile. Le bilan des accidents du week-end dernier, coïncidant avec les deux jours de l'Aïd, est relativement «élevé» par rapport à la même période les années précédentes.
Un individu, qui avait rallié les groupes terroristes dans la région du Sahel en 2017, s’est rendu hier aux autorités militaires de Bordj Badji Mokhtar (6e Région militaire), a indiqué hier un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
Dans son dernier discours prononcé jeudi dernier au siège du Commandement des forces de défense aérienne du territoire (CFDAT), le chef d’état-major de l’ANP a appelé à la mobilisation de l’ensemble du corps social pour lutter contre l’hydre intégriste.
Le coton, produit coté en Bourse, nous revient excessivement cher à l’importation. Nous exhortons les pouvoirs publics à penser à relancer la culture de cette matière.
Quel pays arabe, ou compté dans l’ensemble générique arabe, n’a pas été confronté, selon des proportions à peine nuancées, à la problématique islamiste et ses complications politiques et sécuritaires ?
Six mois après cassation par la Cour suprême du verdict de la chambre criminelle près la cour d’Alger, le procès du général-major à la retraite Ali Ghediri a été enfin fixé au 16 mai prochain.
L'Observatoire national de la société civile (ONSC), un organisme consultatif placé sous la présidence de la République, ambitionne d’étendre l’élan de solidarité constaté durant chaque Ramadhan à des projets de partenariat pour dépasser les activités liées à des conjonctures ou à un événement, a affirmé, hier, son président Noureddine Benbraham.
L’ANP lance une sévère mise en garde contre l’extrémisme religieux qui reprend du poil de la bête. En visite de travail, jeudi dernier, au siège du Commandement des forces de défense aérienne du territoire (CFDAT) à Alger, le général d’armée Saïd Chanegriha relève le retour en force des extrémistes religieux au devant de la scène, avec leur habituel discours subversif qui vise à plonger le pays dans un chaos similaire à celui des années 1990 du siècle dernier.
Lancé en 2009 et relancé en 2018, le projet «e-Algérie» peine à atteindre tous les objectifs tracés. Même si l’Algérie est à 112e place dans le e-Gouvernment Development Index établi en 2022 par les Nations unies, le projet de la numérisation rencontre toujours des obstacles. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, s’est d’ailleurs plaint des lenteurs à de nombreuses reprises.
-Le processus de la numérisation a été lancé il y a déjà quelques années à travers plusieurs plateformes. Où en sommes-nous réellement aujourd’hui ? Dire que nous n’avons pas avancé serait un tort pour les ingénieurs qui ont digitalisé plusieurs services, tels que celui de l’état civil ou de la justice. Toutefois, nous sommes loin d’atteindre les véritables objectifs de la transformation numérique de l’administration publique. Nous avons des plateformes qui existent. C’est une bonne chose. Mais combien de citoyens les utilisent ? Combien de personnes les ont introduites dans leur routine de procédures administratives ? Nous avons une plateforme pour le retrait d’extrait de naissance en ligne. Peu de gens la connaissent et l’utilisent. La preuve est qu’on continue à voir des chaînes interminables devant les guichets de l’état civil. Pis encore, le manque de coordination fait que les documents retirés en ligne ne sont pas acceptés par certaines administrations qui exigent le fameux cachet rond rouge. C’est le même souci qu’on a avec le e-paiement. Selon les derniers chiffres dévoilés par GIE monétique, il n’y a que quelque 50 000 TPE opérationnels dans le pays. Nous avons plus de superettes et de pharmacies.
La commission mixte d’historiens algériens et français, décidée par le président de la République algérien, Abdelmadjid Tebboune, et son homologue français, Emmanuel Macron, à l’occasion de la visite officielle de ce dernier en Algérie, en août 2022, a tenu, mercredi 19 avril, sa première réunion, a annoncé un communiqué de la Présidence française.
Plusieurs groupes parlementaires et des membres des commissions permanentes de l’APN ont formulé des demandes auprès du bureau de l’Assemblée populaire nationale pour la constitution de commissions d’enquête parlementaires qui concerneraient des dossiers qui préoccupent le citoyen.
Le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations a souligné, dans un communiqué, «le respect par les commerçants et les opérateurs économiques du dispositif de permanence, lors du premier jour de l'Aïd El Fitr, dans le but de satisfaire les besoins des consommateurs».
Le journal électronique Maghreb Intelligence, connu pour sa proximité avec les services spéciaux marocains, cherche à tout prix à nuire à l’entente parfaite qui caractérise les relations algéro-tunisiennes. Cela s’est encore vérifié cette semaine.
Après le dernier séisme judiciaire qui l’a fortement secoué, le complexe sidérurgique d’El Hadjar n’a pas arrêté de faire tourner ses machines. Le PDG de l’EPE Sider El Hadjar affirme : «Le complexe est, actuellement, en activité.
Six personnes ont trouvé la mort et 426 autres ont été blessées dans 481 accidents de la circulation survenus ces dernières 48 heures à travers plusieurs régions du pays, selon un bilan rendu public hier par la Protection civile.
Le directeur général de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH), Samir Farhat, a annoncé l’acquisition de nombreux types de médicaments et a assuré que les pouvoirs publics ne ménagent aucun effort pour garantir les moyens financiers nécessaires aux soins.
Le procès en appel de l’affaire dite des SMS a repris hier avec les plaidoiries de la défense relatives aux vices de forme. Bon nombre d’entre eux ont fait état devant la présidente de la chambre pénale près la cour d’Alger, de «violations» de la procédure.
Le ministère de l’Education nationale rassure sur l’examen d’évaluation des acquis des élèves de la 5e année primaire, qui est «obligatoire». Selon Mohamed Deif Allah, directeur de l’enseignement primaire au ministère de l’Education nationale, qui s’est exprimé hier à la Radio nationale, l’une des particularités de cette évaluation est qu’elle est incluse dans le programme. Autrement dit, il ne s’agit pas d’une période bloquée exclusivement pour les évaluations.
Le mois de Ramadhan aiguise l’appétit des annonceurs, qui voient en la télévision leur nouvel eldorado publicitaire. Les marques et les chaînes TV ont pris l’habitude de s’associer aux valeurs de ce mois sacré dans l’objectif de se refaire «un stock de notoriété» pour le reste de l’année, et pour les marques de déclencher l’acte d’achat dans un contexte économique sensible où l’inflation dicte sa loi.