Les automobilistes sont toujours soumis au diktat des gardiens de parkings anarchiques. À Sidi M’hamed, un gardien de parking exploite une aire de stationnement bien délimitée.
Il s’agit d’une parcelle de terrain récupérée après la démolition d’une bâtisse vétuste. Cependant, l’exploitant a étendu son activité, en toute illégalité, à tous les espaces attenants à la parcelle. Si bien que les automobilistes, qui garent leurs véhicules à quelques dizaines de mètres de cette aire, se voient contraints de s’acquitter des frais de stationnement au même titre que ceux qui garent leurs voitures dans l’enceinte du parking. Cet exemple illustre la situation de désordre et d’anarchie totale qui prévaut dans toutes les communes de la capitale.