Deux personnes ont perdu la vie, dans la nuit du mardi au mercredi, suite aux inondations qui ont affecté les localités de Teghalimet et de Mezaourou, au sud de la ville de Sidi Bel Abbès, selon la protection civile. Les victimes, qui se trouvaient à bord d’un véhicule léger, ont été emportées par la crue de l’Oued Mekerra, sorti de son lit suite aux pluies orageuses qui se sont abattues ces derniers jours sur les régions sud de la wilaya.
La pression démographique qui touche certaines zones d’habitation à Oran ne permet pas d’atténuer la surcharge des classes malgré les nouveaux projets.
Dans le quartier de Saint-Pierre, l’ex Rue Arago et la placette attenante (appelée «Placetta») se redorent d’un nouveau look en enlevant les nombreux étals de marchands de fruits et légumes, qui avaient, pendant 20 années, pignon sur rue dans ce quartier populaire.
L’EPIC «Tiaret-Nadhafa» qui tente tant bien que mal d’assurer sa mission de soulager Tiaret de ses déchets ménagers, se déploiera dans quelques jours dans la deuxième grande commune de la wilaya, Sougueur, où elle ne s’occupera pour une première phase que du centre-ville.
Sous la supervision du directeur de la santé de la wilaya, les interventions chirurgicales spécialisées vont reprendre incessamment aux EPH Ouled Mohamed et de Chorfa, dans la commune de Chlef, et ce, en partenariat avec les services médicaux du CHU de Blida.
Ces dépotoirs, qui accueillent les déchets ménagers de communes environnantes, polluent l’environnement et dégagent de mauvaises odeurs qui parviennent jusqu’aux habitations et routes avoisinantes.
Fermée depuis 2003, la mine d’El Abed (sud de Tlemcen) considérée comme la plus grande réserve de mine et de plomb à l’échelle africaine, incite la population et des personnalités dont la militante des droits de l’homme, l’avocate Latifa Dib à interpeler le président de la république pour la remise en service de ce grand gisement.«Estimées à millions de tonnes de plomb et de zinc, les réserves de cette mine suffisent pour les 90 ans à venir et sa réexploitation permettra, non seulement à l’Algérie de se repositionner dans le domaine de l’exploitation minière mais également un développement et prospérité pour toute la région», dit avec conviction Mme Dib.
Le jardin public de Sidi Bel Abbès, l’un des rares espaces verts encore ouvert au grand public, se meurt lentement. La gestion de ce site demeure toujours défaillante et donne à voir, chaque jour, l’étendue des dégâts occasionnées par des opérations de réaménagements successives et ô combien coûteuses.
Un nouveau directeur a été nommé à la tête de la direction de l’Éducation de la wilaya de Mascara.
Les autorités locales ont procédé jeudi matin à l’inauguration de l’usine PVC sis dans la zone industrielle de Zarroura, rentrée en production grâce à un partenariat avec les Turques.
La commune de Chettia vient de bénéficier d’une nouvelle station d’épuration des eaux usées qui se déversent actuellement dans l’oued Cheliff. Voilà qui devrait inciter les responsables concernés à réfléchir sur les moyens de redonner vie au projet d’aménagement de ce cours d’eau afin de le transformer en site attractif avec des espaces de loisirs et d’activités diverses sur ses rives.
De mémoire de Témouchentois, on n’a pas vu se produire un phénomène semblable. S’il est habituel qu’à la veille de l’Aïd, le prix du mouton augmente, il ne l’est plus le lendemain, la spéculation ayant disparu des marchés à bestiaux.
Le wali de Relizane vient d’effectuer une visite de travail dans le périmètre du parc industriel de Sidi Khettab au nord du chef-lieu de la wilaya pour s’enquérir de visu de la situation des travaux de sa viabilisation.
Le 17 août, une cinquantaine de boulangers de la ville de Tiaret avaient décidé de ne pas travailler au grand désarroi des habitants partis aussitôt à la quête de la baguette de pain, écumer les étals des commerces pour s’approvisionner en farine.
Routes dégradées «oubliées» malgré le lancement d’une série d’opérations de revêtement, manque de bacs à ordures, carrefour principal de l’entrée sud de Moussalah en attente d’aménagement, absence d’arrêts de bus, route de l’hôpital central dans un piteux état, chaussées défoncées non remises en état, autant de gros points noirs qui ornent malheureusement nombre de cités et d’axes routiers de la ville de Chlef.
Avec une population de près de 1400 000 habitants, la wilaya de Chlef dispose d’une offre suffisante en matière d’alimentation en eau potable, comme cela est constaté en cette période de grandes chaleurs.
La réaction des autorités locales, dans la wilaya de Mostaganem, suite à l’article publié il y a quelques mois de cela dans El Watan sous l’intitulé «Sidi Lakhdar : Le bitumage d’une rue attendu depuis 40 ans !», a été salutaire !
Après l’inauguration en grandes pompes au début du mois de juillet dernier du projet d’acheminement vers Béchar et sa périphérie de l’eau potable à partir de Boussir (commune située à 180 km au nord du chef-lieu de la wilaya) et les essais concluants qui ont suivi l’inauguration, la population pensait que son cauchemar de la pénurie d’eau appartenait désormais au passé.
Jusqu’au 14 septembre prochain, le Musée d’art moderne d’Oran (Mamo), situé à la rue Larbi Ben M’hidi, abrite une intéressante exposition collective de 30 artistes-peintres.
Le fossé jouxtant la muraille du palais du Bey (extrémité ouest du front de mer), longtemps embusqué à l’oeil du passant par un muret cache-misère, vient de connaître une opération d’aménagement qui lui permettra, une fois avoir abouti, de faire jonction avec un autre fossé, bien plus vaste, et qui donne directement sur le quartier de Sidi el Houari.