L’association écologique Agraw n Twenat n Vujlil, relevant de la commune de Boudjellil, a organisé ce vendredi 20 mai une journée de reboisement au site de Mghissa, une source située dans une forêt du village, en collaboration avec le personnel enseignant et les élèves de l’école primaire Amari Mohand Tayeb de Boudjellil centre.
Les élèves du village Tala Ntinzer, dans la commune de Béni Maouche, ne peuvent compter que sur leurs jambes pour rejoindre les bancs de l’école le matin, et regagner leurs domiciles à la fin des classes. « Depuis la fermeture de l’école primaire de notre village, voilà plusieurs années, nos enfants sont soumis à un rythme intenable.
Les automobilistes restent bloqués sur les routes pendant des heures, un calvaire vécu à chaque période estivale d’encadrement.
Depuis la fermeture de la station-service Naftal de Bir Slam, à l’entrée sud de la ville de Béjaïa à cause de travaux de rénovation, les chauffeurs de taxi et les automobilistes circulant en véhicules convertis au GPLc, notamment, ceux du chef-lieu de la wilaya, vivent un véritable problème d’approvisionnement en ce produit pétrolier.
Naftal dispose d’un seul centre d’installation des kits GPLc au niveau de la wilaya, et qui est localisé à la station-service d’El Kseur, sur la RN 26. A la fin du premier trimestre de l’année 2022, 150 voitures ont été converties au GPlc.
Le barrage hydraulique Tichi Haf, dont l’étendue aquifère chevauche sur le territoire des communes de Tamokra et de Bouhamza, a été quelque peu renfloué à la faveur des pluies enregistrées au cours de ces derniers mois (mars et avril).
A l’approche de la saison estivale, la consommation de l’énergie électrique connaît une forte augmentation, notamment à cause du recours des citoyens à la climatisation.
La vente des titres de transport des traversées supplémentaires autorisées par l’Etat a été lancée, hier, au niveau de l’agence de la société nationale de transport maritime de Béjaïa, a indiqué la compagnie de navigation maritime.
Les souscripteurs au programme 40 logements LPA de Sidi Ahmed, dans la ville de Béjaïa, revendiquent l’établissement des décisions d’affectation de leurs logements.
La situation dans laquelle se trouve la filière avicole dans la wilaya de Bouira est dramatique. Des éleveurs, dans l’incapacité d’écouler une importante production de poussins issus de l’élevage avicole, ne savent plus à quel saint se vouer.
Le Centre de recherche en langue et culture amazighes (CRLCA) de Béjaïa a organisé, en collaboration avec la Faculté des lettres et des langues de l’université Abderahmane Mira, mardi dernier, à l’auditorium du CRLCA, une journée d’étude sous l’intitulé «Le patrimoine culturel immatériel amazigh : richesse, préservation et défis». «patrimoine poétique», «langue, vecteur culturel », «pratiques et symbolisme» et «traditions et préservation» ont été les thématiques qui ont englobé seize communications présentées par les chercheurs.
Une fête a été organisée la semaine écoulée par une crèche privée au profit d’une centaine d’orphelins et d’enfants à besoins spécifiques (EBS) au niveau de la salle de cinéma Salah Boukrif, dans la commune de M’chedallah, à l’est de la wilaya de Bouira. «Nous avons invité tous les orphelins et enfants à besoins spécifiques de la région pour prendre part à cette fête.
La circonscription agricole d’Amizour, qui renferme six communes, à savoir Amizour, Barbacha, Kendira, Feraoun, Ath Djellil et Semaoun, a bénéficié de l’octroi de 44 modules de caprins, avons-nous appris auprès du premier responsable de la subdivision de l’agriculture. «La distribution de ces modules au profit des agriculteurs et éleveurs s’est déroulée en deux étapes.
En réaction à l’apparition de trois foyers de fièvre aphteuse, une campagne de vaccination contre cette zoonose vient d’être lancée à travers l’ensemble des localités de la wilaya de Béjaïa a informé un responsable des services de l’inspection vétérinaire de la DSA.
Les responsables locaux se sont engagés dans une véritable course contre la montre pour remédier aux insuffisances et doter les espaces de détente du strict minimum.
Tamda Ouguelmim ou le lac Goulmim, une merveille naturelle perchée à près de 1700 m d’altitude en plein cœur du Djurdjura, subit malheureusement et à l’instar des autres sites de haute montagne des agressions quotidiennes.
Un programme «restart» est lancé en direction des entreprises solvables d’encadrement.
Les candidatures à la 9e édition du concours Rabah Aïssat du village le plus propre qu’organise, chaque année, l’Assemblée populaire de la wilaya de Tizi Ouzou, sont ouvertes, depuis mardi dernier, a-t-on appris auprès des organisateurs de cette compétition environnementale.
Des centaines de personnes ont afflué, vendredi passé, au village Ighzer Iwaquren, dans la commune de Saharidj, au nord-est de Bouira, pour assister à la clôture de la semaine culturelle de commémoration du 65e anniversaire de la destruction et incendie dudit village par l’armée coloniale. «Le comité du village avait concocté un riche programme comportant différentes activités culturelles, sportives, musicales, éducatives, etc., du 6 au 13 mai.
L’association Tafat Oufellah de Tinebdar a, en collaboration avec la subdivison agricole de Sidi Aïch et en partenariat avec le PASA Pôle Soummam, organisé une journée spéciale pour le greffage des oliviers, la semaine dernière, à Tinebdar, en présence d’une délégation du Service de la coopération de la délégation de l’Union européenne en Algérie, composée des experts de PASA et de France expertise.