«Cette situation est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, puisque nous constatons que la soumission de Pedro Sanchez au Maroc a bloqué tout le marché algérien», fulmine un éleveur espagnol en s’interrogeant sur l’intérêt de la position du gouvernement qui n’a été convenue ni avec le PSOE ni avec le Parlement.
Les secteurs qui comptent le plus recruter ce premier semestre 2022 sont : l’industrie avec 42% des entreprises sondées qui prévoient d’augmenter leurs effectifs, contre 38% dans le secteur des services, 32% dans le BTP et enfin 29% dans le commerce et la distribution.
L’Allemagne plongerait dans la récession en 2023 en cas d’arrêt immédiat des approvisionnements en gaz russe, dans le sillage de la crise ukrainienne, ont prévenu hier les principaux instituts allemands de prévisions économiques.
La Banque mondiale prévoit un ralentissement de la croissance pour 2022 en Afrique subsaharienne, où de nombreux pays, à peine remis du choc économique dû à la Covid-19, sont confrontés aux conséquences de la guerre en Ukraine.
Le Portugal a revu en légère baisse sa prévision de croissance pour cette année à 4,9% et l’inflation en hausse à 4%, en raison de la crise en Ukraine, a indiqué hier son ministre des Finances.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a revu en légère baisse la demande mondiale de pétrole en raison des confinements en Chine, se disant confiante sur l’équilibre du marché malgré la guerre en Ukraine, dans son rapport mensuel publié hier et cité par l’AFP.
L’inflation est partout, aux Etats-Unis, en Europe et dans beaucoup d’autres pays, à l’instar de l’Algérie. Le phénomène est spectaculaire et des dirigeants de ces pays semblent prendre très au sérieux la menace... Tous les pays, sans exception, connaissent une inflation galopante qui devient de plus en plus forte depuis une année déjà.
L’Algérie et l’Italie ont signé, hier à Alger, deux accords dans le secteur de l’énergie lors d’une cérémonie présidée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et le président du Conseil des ministres italien, Mario Draghi, en visite en Algérie.
Les appels d’offres pour l’achat de blé sur le marché international se poursuivent en cette période de tension. L’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) a en effet lancé un appel d’offres international pour l’achat de 50 000 tonnes de blé tendre meunier à expédier vers les deux ports de Mostaganem et de Ténès.
Le panier de l’OPEP, constitué de prix de référence de 13 pétroles bruts, dont le Sahara Blend algérien, s’est maintenu à plus de 100 dollars au début de la semaine en cours.
Relocaliser certaines productions, comme souhaitent le faire les Etats-Unis ou la France depuis que la Covid-19 a désorganisé les chaînes d’approvisionnement mondiales, pourrait être contre-productif, a expliqué hier dans un rapport le Fonds monétaire international (FMI), qui appelle plutôt à diversifier les pays d’approvisionnement.
Les prix n’en finissent plus de grimper aux Etats-Unis, et l’inflation a atteint un nouveau plus haut en mars, premier mois pleinement touché par les répercussions de la guerre en Ukraine sur l’énergie notamment, poussant la Maison-Blanche à tenter d’en atténuer le coût. L’inflation a atteint en mars son plus haut niveau depuis décembre 1981.
Si une partie de l’accord entre Sonatrach et Eni porte sur l’augmentation des volumes de gaz, une seconde partie est liée à un partenariat visant à tirer le meilleur parti des contrats de production d’hydrocarbures en cours, mais aussi d’étendre la coopération à des projets communs dans le domaine de l’énergie renouvelable.
En plus de l’augmentation des prix d’achat des légumineuses auprès des agriculteurs et de la marge bénéficiaire des producteurs et distributeurs de lait, le dernier Conseil des ministres a pris comme décision phare d’accorder l’exclusivité en matière d’importation des céréales à l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC).
Le président de l’Association nationale des exportateurs, Ali Bey Nasri, a déploré, hier sur les ondes de la Chaïne 3, l’absence d’un comité de pilotage pour réguler l’activité d’exportation.
Le contexte est toujours tendu sur le marché mondial des céréales, avec la persistance de la crise en Ukraine. C’est dans cette conjoncture d’ailleurs que le Conseil des ministres a examiné, dimanche dernier, la situation de la filière céréalière, dont la production a baissé, pour rappel, de plus de 34% durant la saison écoulée.
La problématique de la disponibilité du lait en sachet sera-t-elle enfin résolue ? Le Conseil des ministres, réuni dimanche dernier, a pris la décision d’augmenter de 1 DA par litre la marge bénéficiaire des usines et de 2 DA celle des distributeurs.
Les prix du pétrole étaient en baisse lundi 11 avril, lestés par un confinement en Chine qui menace la demande en or noir et la crise ukrainienne.
La production des signataires de l’accord a chuté de 190 000 b/j pour atteindre 38,06 millions de b/j au mois dernier, soit 1,48 million de b/j en dessous de l’objectif, rapporte Argus Mediaw.
Plusieurs actions et projets rentrant dans le cadre de la promotion des énergies renouvelables et de la maîtrise de l’énergie sont concernés par le financement du Fonds national pour la maîtrise de l’énergie et pour les énergies renouvelables et de la cogénération, en vertu d’un arrêté interministériel paru au Journal officiel n° 21, rapporte l’APS qui cite le JO.