Le projet de nouvelle loi sur l’investissement a été au centre de la visite de la délégation du Medef en Algérie. Le forum d’affaires, qui s’est tenu lundi dernier à la faveur de la mission du Medef, composée d’une quinzaine de chefs d’entreprise, a eu pour message principal la disposition des entreprises françaises à s’inscrire dans des investissements de longue durée pour peu que le cadre législatif y soit favorable.
Après deux ans d’absence pour cause de pandémie mondiale de Covid-19, l’Africa CEO Forum (AFC), considéré comme le plus grand rassemblement annuel du secteur privé en Afrique, revient cette année et se tiendra les 13 et 14 juin 2022 à Abidjan, en Côte d’Ivoire.
Entré en vigueur dimanche dernier, le nouveau cadre juridique régissant l’importation des équipements et chaînes de production rénovés a vu, hier, l’annonce d’autres mesures visant à mieux encadrer leur importation tout en «garantissant la transparence», a indiqué l’APS, qui cite le ministère de l’Industrie.
Ces derniers mois, l’Association des banques et établissements financiers (ABEF) adresse régulièrement des notes et des instructions aux entreprises fixant les règles du commerce extérieur, notamment l’importation des matières premières.
Le directeur général du Fonds de garantie des crédits à la petite et moyenne entreprises (FGAR), El Hadi Temam, a indiqué hier à Alger que le Fonds avait accompagné, jusqu'au 15 mai, 3474 projets à hauteur de 473 milliards de dinars.
Alors que le ministère de l’Industrie a commencé à recevoir les investisseurs souhaitant acquérir les équipements rénovés et a fixé les conditions d’obtention des autorisations, à leur grande surprise, les opérateurs économiques constatent que l’opération n’est guère facile à mener à la faveur de toutes les pièces exigées. Un dossier lourd à constituer.
Les prix du pétrole étaient en légère hausse hier, soutenus par les adoucissements des restrictions sanitaires en Chine, rassurant sur la demande.
Le patron des patrons français, qui a salué l’adoption d’une nouvelle loi sur l’investissement, assure que les entreprises françaises continuent à accélérer les échanges, quel que soit le climat politique entre les deux pays.
Le PDG de Naftal, Mourad Menouar, a fait état, lundi à Alger, d’un plan d’investissement de l’entreprise visant à concrétiser les projets stratégiques d’un coût de plus de 250 milliards de DA, et ce, durant la période allant de 2022 à 2027. La société Naftal dispose d’un plan de développement quinquennal (2022-2027), reposant sur une vision «stratégique» pour la réalisation de projets de grande envergure, d’un coût de plus de 250 milliards de DA, a fait savoir M. Menouar, qui était invité du Forum du quotidien Echaâb.
Avec une matière première de plus en plus rare et coûteuse, l’industrie de l’emballage évolue dans un contexte difficile qui pousse les opérateurs du secteur à se tourner vers l’intégration du papier recyclé dans le processus de production.
«Le gaz naturel doit faire partie des systèmes de transition pour une énergie juste en Afrique», estime le président de la BAD, qui fait observer que «même si l’Afrique triple l’utilisation du gaz pour la conversion du gaz en électricité, elle contribuera à moins de 0,67% aux émissions mondiales de carbone».
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a mis fin, hier, aux fonctions du Gouverneur de la Banque d’Algérie (BA), Rostom Fadhli, qui a été remplacé par Salah Eddine Taleb, indique un communiqué de la présidence de la République.
S’inscrivant dans la démarche du ministère de l’Industrie pharmaceutique portant la promotion de l’exportation vers les marchés régionaux, et dans le cadre d’échanges et de coopération entre les deux pays, le Conseil du renouveau économique algérien (CREA) et le Mouvement des entreprises sénégalaises (MEDS) ont signé un contrat-cadre, en marge du Salon El Djazaïr Healthcare des produits pharmaceutiques, qui s’est tenu du 17 au 19 mai à Dakar, au Sénégal.
Même si le dossier de l’importation des véhicules et du montage automobile traîne en longueur, le ministre de l’Industrie se veut néanmoins rassurant. Ahmed Zeghdar a ainsi affirmé hier, lors d’une intervention médiatique autour du lancement du régime d’importation des chaînes de production rénovées, que de grands constructeurs automobiles devraient bientôt se lancer sur le marché algérien. Il n’a donné aucune date ni autre détail sur lesdites entreprises internationales avec lesquelles le ministère est en contact.
Une délégation de l’organisation patronale française Medef effectue une mission d’affaires de deux jours en Algérie, en vue d’explorer de nouvelles opportunités d’investissement. Un forum d’affaires algéro-français aura lieu à cette occasion aujourd’hui à Alger, en présence du président du Mouvement des entreprises de France, Geoffroy Roux de Bézieux.
Saudi Aramco a annoncé, hier, un bond de 82% de son bénéfice au premier trimestre 2022, porté par la flambée des cours du pétrole, qui a propulsé le géant saoudien de l’énergie au rang de première capitalisation boursière mondiale.
Le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, a affirmé hier à Alger que le nouveau cadre juridique régissant l’importation des chaînes et équipements de production rénovés «priorisait» le rendement économique, les capacités effectives des lignes devant être désormais évaluées par la définition de leur durée de vie minimale après l’opération de rénovation au lieu du critère en vigueur auparavant, reposant sur la durée d’utilisation avant la rénovation.
Développer une industrie pharmaceutique locale en Afrique semble l’option pour l’avenir du continent, dont les besoins de santé publique sont importants.
En marge du Salon des produits pharmaceutiques et dispositifs médicaux, El Djazair Healthcare, le ministre de la Santé et de l’Action sociale sénégalais et le ministre de l’Industrie pharmaceutique algérien ont signé un mémorandum d’entente pour promouvoir la coopération entre les «parties» en facilitant l’échange d’informations, d’expériences et de documentation dans le domaine de l’industrie pharmaceutique, et en encourageant le développement d’activités de collaboration bilatérales dans le respect des cadres normatifs et réglementaires de chaque «partie».
Cinq organisations patronales algériennes ont annoncé, hier, via un communiqué de presse, se regrouper dans une nouvelle structure dénommée la Coordination nationale du patronat (CNP).