Le 6e Festival culturel national du costume traditionnel algérien s’est ouvert lundi au Centre des arts et de la culture du palais des Raïs (Bastion 23) à Alger, avec la participation d’une quinzaine de stylistes et artisans algériens. La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a, dans son allocution, lu en son nom par Mme Nadia Cheriet, conseillère chargée d’études au ministère, relevé l’importance de ce rendez-vous annuel qui, a-t-elle dit, contribue à «la préservation du costume traditionnel algérien».
L’écrivaine et chercheuse en histoire, Thiziri Demmouche, nous offre un nouveau travail qui allie habilement l’histoire et la poésie. Un ouvrage écrit entièrement en tamazight.
Diverses activités culturelles, lyriques et récréatives sont à l’affiche à la maison de la culture de la wilaya d’El Oued dans le cadre du programme Nuit d’été 2024 destiné à animer les soirées estivales au grand bonheur de la population locale.
l «Lumières croisées», une exposition collective de photographies, animée par une pléiade d’artistes-photographes, a été inaugurée, samedi à Alger, dans des thématiques singulières qui mettent en valeur quelques aspects de la richesse et la diversité du patrimoine culturel algérien matériel et immatériel.
Les discussions s’annoncent aussi tendues que l’usage diplomatique le permet. L’Unesco doit trancher d’ici fin juillet sur l’inscription sur sa liste du patrimoine mondial en péril du site préhistorique britannique de Stonehenge ainsi que de Lumbini, lieu de naissance de Bouddha au Népal. Comme chaque année, le Comité du patrimoine mondial se réunit à l’été, cette fois-ci en Inde, à New Delhi, à partir de dimanche et pour dix jours.
Avec son titre explicite, Amour interdit, Sid Ali Fettar sortait en 1993 un genre de romance sur fond de colonisation, incluant même une scène au lit (sans contact) avec l’acteur et l’actrice en sous-vêtements.
Jeune comédien complexe et sensible, 8 ans de théâtre et 20 pièces, il est connu pour son rôle de Zighoud Youcef dans le récent film éponyme de Mounès Khemmar, dans la série ramadan 2024 Dmou3 louliya mais moins dans Déboussolé de Youcef Mansour ou 196 mètres et encore moins dans La fille de mon quartier de Amar Si Fodil où il joue le jeune gardien de parking amoureux en secret d’une voisine, qui elle aime un autre homme.
l Le Comte de Monte-Cristo avec Pierre Niney est le plus gros succès du box-office mondial avec plus de 3,5 millions d’entrées.
Le musicien malien Toumani Diabaté, surnommé «roi de la kora», un instrument de musique africain, est décédé vendredi à Bamako à l’âge de 58 ans à la suite d’une courte maladie, a annoncé sa famille. «Mon cher papa s’en est allé à jamais», a indiqué son fils et artiste Sidiki Diabaté sur Facebook. Il est décédé dans une clinique privée de la capitale Bamako, a déclaré à l’AFP un autre membre de sa famille, sans plus de détails.
Une œuvre très riche que le journaliste et auteur Abdelkrim Tazaroute a consacré à Idir, intitulée Idir, Nostalgie enchanteresse. Un ouvrage publié aux éditions El Qobia.
Pour nous, enfants du XXe siècle, le cinéma fut une merveilleuse invention. Avec la littérature, il aura frappé nos esprits, influencé nos idées et nourri nos réflexions.
Avec son style festif, ancré dans le patrimoine local, l’artiste a chanté Ariha laâmbar, El Henni, Avarnousik, Tala Bwamane, Avrid Iâazouguene, Tislith, Avehri Idurar, Tivratin… Des mélodies qui égaient toujours les fêtes en Kabylie et même dans plusieurs autres régions d’Algérie. Après plus de 40 ans au service de la chanson rythmée, Ali Irsane continue à subjuguer ses fans avec la même verve.
La 18e édition de la Fête du bijou d’Ath Yenni au sud-est de Tizi Ouzou s’est ouverte jeudi au CEM Larbi Mezani de cette localité montagneuse en hommage à un de ses glorieux enfants, le chahid Larbi Maarouf, fabricant de galons pour l’Armée de libération nationale (ALN).
Ould Abderrahmane Kaki, une école du théâtre algérien est un nouvel ouvrage qui vient d’être publié aux éditions Dar El Qods El Arabi. Il est coécrit par le professeur Mansour Benchehida, le professeur Lakhdar Barka Sidi Mohamed, Mohammed Berrached, Mohamed Boudene et Kamel Bendimred, qui ont tous connu, sous différents aspects, Ould Abderrahmane Abdelkader dit «Kaki», un des monuments du théâtre algérien.
Pour la 79e édition, l’arabe sera la langue à l’honneur de la programmation. C’est une langue «d’une énorme richesse patrimoniale», «mais aussi une langue pont», a déclaré Tiago Rodrigues.
Qe suis la véritable trace, le plus solide des indices attestant de tout ce que nous avons vécu en dix ans en Algérie. Je cache l’histoire d’une guerre entière, inscrite sur ma peau depuis que je suis enfant.» Aube, jeune Algérienne qui doit se souvenir de la guerre d’indépendance, qu’elle n’a pas vécue, et oublier la guerre civile des années 1990, qu’elle a elle-même traversée. Sa tragédie est marquée sur son corps : une cicatrice au cou et des cordes vocales détruites. Muette, elle rêve de retrouver sa voix.
Les Journées de Tlemcen de la littérature populaire ont débuté mardi dans la commune de Sabra, avec au programme diverses activités culturelles qui se poursuivront jusqu’au 29 juillet.
Le Comité du patrimoine mondial de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) tiendra sa 46e session ordinaire du 21 au 31 juillet dans la capitale indienne, New Delhi, a indiqué l’organisation dans un communiqué.
Avant cette polémique, Inaam Beyoud avait confié, lors d’une intervention médiatique, que le personnage principal de Houaria est inspiré d’une personne réelle, même s’il a été recréé sous une autre forme.
Les mots simples sont les plus forts, lit-on dans la présentation d’Acoustic, seizième album de l’artiste ivoirien Tiken Jah Fakoly qu’il a joué aux Suds, à Arles. Un exemple : «Ils ont partagé le monde, plus rien ne m’étonne. Ils ont partagé Africa sans nous consulter…» Ou bien encore Ouvrez les frontières.